f1g2a3s4b5

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/01/2014

Réunion du cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion de formation du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 15h30 le samedi 8 février 2014, à Metz (57 000).

 

baudricourt.gif

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06 46 77 66 85

 

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr

30/11/2012

Forum Légitimiste

forum légitimiste, doctrine, formation,

L’équipe de ce forum légitimiste adhére sans restriction à la pensée légitimiste traditionnelle, telle qu'elle est défendue et promue par l'U.C.L.F.

Son but est de faire connaître les Cercles UCLF de nos provinces, faciliter les contacts entre les légitimistes. Entretenir les échanges, produire des amitiés et des relations sincères.

Venez vous inscrire et participer au Forum Légitimiste :

http://royaume-de-france.clicforum.com/index.php

20/08/2012

Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion de formation du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 08 septembre 2012, à Nancy (54 000).

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06 46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr

26/07/2012

Les principes politiques intangibles du combattant contre-révolutionnaire

Il ne peut être question de mener une action politique sérieuse au service de la France que nous aimons, sans définir avec précision les principes fondamentaux qui seuls peuvent nous permettre de devenir des soldats politiques efficaces. C’est le but de cette note, qui sous la forme de points importants, esquisse les grandes lignes de la pensée contre-révolutionnaire.

1)      Dieu et le Roy !

      Sans l’alliance du trône et de l'autel, la France n’existe pas, car cette union lui est pourrions-nous dire “consubstantielle”.

dieu_le_roi5.jpgIl n'existe aucun contre-révolutionnaire qui puisse remettre en question ce qui constitue cette Vérité métaphysique de l’identité Française réelle. Le sacre lie le Roy de France au Christ dans l’accomplissement de sa tache de souverain temporel. Il en découle logiquement que le combattant contre-révolutionnaire, légitimiste par perfection, lutte pour la défense des droits naturels aujourd'hui bafoués de l'héritier de nos Rois, et pour la protection de l'Église Catholique Romaine opprimée par le fanatisme de la Révolution des « Lumières », ainqi que par l’illuminisme maçonnique et le sectarisme républicain.

2)      Refus radical de toutes les idéologies artificielles révolutionnaires.

      La  philosophie abstraite et utopique de la liberté (libéralisme), de l’égalité (socialisme) et de la fraternité républicaine (terreau du nationalisme), sont les idéologies ennemies déclarées du combattant contre-révolutionnaire.

      Que peut donc signifier une notion aussi vague que celle de la liberté complètement détachée d’une moralité supérieure chargée de la contrôler ? Où commence par exemple la liberté ? Où s’achève-t-elle ? De plus il est mensonger d’affirmer que les hommes sont libres de toutes contraintes et parfaitement égaux.

De simples exemples, les plus immédiats suffisent amplement pour nous en convaincre :

-        La liberté d’un assassin, criminel en fuite vaut-elle celle de l’homme juste, travailleur et honnête ?

-         Nous ne sommes pas tous égaux, un homme intelligent n’a pas la même valeur qu’un ignorant ; certains sont plus forts physiquement que d’autres ; celui qui a été formé pour exercer un métier et qui a décroché un diplôme à cet effet vaut plus qu’un incompétent.

Toutes ces choses logiques et élémentaires font simplement appel au bon sens... Proclamer la liberté comme le fait la république des francs-maçons ne revient pas à la réaliser pour autant, il ne suffit pas d'exprimer une idée pour qu'elle se mette à exister concrètement... Quant à la fraternité, elle n’est pas possible en l’absence d’un Père et des valeurs communes. La fraternité républicaine relève du domaine de la pure utopie et ne possède aucun contenu clairement défini et réel. Les dogmes idéologiques des clubs maçonniques se meuvent dans l'abstrait, et postulent la suprématie de la « déesse raison » qui peut conduire l’humanité aux frasques les plus pitoyables, grotesques, et engendrent les drames les plus tragiques que l’histoire des hommes ne manque plus de nous révéler :

-        Le régicide au nom de la raison, extermination de la Vendée au nom de la « déesse raison », les noyades de prêtres dans la Loire et profanation des tombes royales au nom de la raison, la dilapidation des biens royaux au nom de la raison.

-        La dénatalité, l' accueil de l’autre à l’extrême et jusqu’à l’effacement de soi même, l'islamisation, la mondialisation toujours au nom de la raison...

Face à cette subversion de la vraie raison par la « déraison », les soldats de la contre-révolution sont les seuls et authentiques porte-paroles de la Vérité héritée de la Tradition Catholique et Royale Française. Ils ont pour devoir de lutter contre l'illusionnisme révolutionnaire, contre les fabricants en gros d'utopies politiques, et contre les marchands du temple.

3)      La révolution n’est pas un progrès.

      Les républicains dans leur fanatisme, leur aveuglement et leur refus d’analyser l’histoire sont persuadés qu'ils sont en mesure d’accomplir le paradis absolu sur terre de l’homme sans Dieu, à l’aide de moyens mensongers et purement artificiels qui leur sont propres. La Déclaration des Droits de l'Homme constitue le credo de ceux-ci et ses articles « sont censés » aller dans le sens positif de l’histoire...

Mais quoi qu'on en dise, la Monarchie à l’expérience du passé, il est impossible de bannir et de supprimer les différences dans la société des hommes à coups de déclarations stériles et de lois inapplicables dans le réel. Le contre-révolutionnaire lutte avec acharnement pour effacer des esprits que le Royalisme soit relégué dans les abîmes de l'histoire et du « passé », et que la Révolution soit présentée comme étant le synonyme du « progrès ».

4)      Contre l’utopie du suffrage universel.

      Qui peut encore avoir la naïveté de croire sérieusement, que des millions de Français « électeurs », qui délèguent leur portion « du pouvoir » à quelques centaines de députés de l’assemblée nationale se trouveront mieux représentés que par le Roy de France Légitime et ses conseils ? Les partis politiques contrarient les instincts naturels de la France réelle, en divisant les Français.

La logique veut que toute communauté humaine, pour être solide et prospère, soit une société « unie ». A commencer par la famille, qui est le plus petit des Royaumes, il en va de même pour les entreprises qui veulent faire des bénéfices, pour une simple équipe de football qui souhaite remporter des matchs et des championnats... La république qui puise sa légitimité dans le suffrage universel, est malsaine car elle contribue à entretenir dans le pays, un état de puissantes divisions, d'hostilité, de haine, qui oppose violemment les français les uns aux autres dans les périodes de campagne électorale.

D’autre part, ceux qui ont pris le soin d’étudier les rouages des sociétés de pensée, savent que la fragmentation des français favorise l’émergence des pires arrivistes au pouvoir, et qu’elle aboutit au nivellement par le bas, et parfois pire encore à la dictature d'une partie de la population sur une autre. Du reste il apparaît clairement que la décision d’une majorité « relative » n’a jamais signifié que cette dernière soit bonne. L’histoire nous prouve que « la loi du nombre », n'a jamais été une valeur positive, mais que trop souvent elle a engendré la médiocrité, et qu’elle impose les frasques les plus absurdes et parfois les plus inhumaines à tout un pays.

          Cette critique de la démocratie, des désordres économiques, sociaux et moraux qu’elle entraîne, et l’un des principaux devoirs du soldat contrerévolutionnaire. De plus il se doit de donner le bon exemple par une conduite toute contraire à ces mœurs infâmes :

-        Par une famille nombreuse catholique et pratiquante, des enfants d’une bonne éducation, de l’ordre, de l’autorité, de la piété et de la sagesse dans ses prises de décisions et ses actions.

-        Par un dévouement sans faille à l’héritier de nos rois, qui seul incarne depuis des siècles en France les aspirations légitimes et naturelles du pays, dont le pouvoir n'est pas fondée sur un quelconque consensus démocratique, mais uniquement sur la loi divine.

5)      La négation de la légitimité théologique et naturelle, engendre la destruction de la cité et de l’ordre traditionnel.

drapeau_esf_fleur_de_lys_blanc_100_150.jpg      « Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine ». Voilà une parabole qui ne date pas d’hier, et qui avec le temps ne prend pas une seule ride… Celui qui cherche à détruire où modifier l'ordre traditionnel voulu par Dieu provoque des catastrophes (avortements, divorces, négation des principes politiques irréductibles d’une civilisation).

Dès le début de la Révolution, la plupart des premiers penseurs contre-révolutionnaires ont discerné que cette maladie naissante portait dans son sein ses futurs “dérapages” les plus violents, comme les nomment à présent « pudiquement » les historiens libéraux, et qu'elle finirait par engendrer des « catastrophes mondiales »... Au final plus l’histoire, et les régimes politiques se succèdent les uns aux autres depuis le tournant cruel, satanique et barbare de « 1789 », plus les contre-révolutionnaires se voient confirmés dans leur analyse.

Si les conséquences de la Révolution sont nombreuses, et notamment la dégénérescence des mœurs de la civilisation française. Il est toutefois d’une importance capitale d’en remonter toujours à la cause, et donc de souligner inlassablement le rôle destructeur exercé par « la secte maçonnique », c'est-à-dire par les philosophes des lumières, par la matrice révolutionnaire qui s'est accaparée par la force et la violence l’œuvre capétienne, son objectif est de détruire l’esprit français et de saper les fondements de l’alliance du trône et de l'autel.

Le soldat contre-révolutionnaire est l’ennemi des sociétés secrètes et des doctrines ésotériques, il en dénonce le puissant pouvoir occulte de manipulation, et les nombreuses nuisances politiques et sociales. L’étendard de la contre-révolution Catholique et Royale, Légitimiste par cohérence, est le drapeau blanc à fleurs de lys frappé en son centre du Sacré-Cœur.

 

Reny_F

04/04/2012

Formation Légitimiste UCLF

Samedi 21 avril 2012

chateau-de-pinieux-limerzel.jpg

VIIIème journée Saint-Louis

Châteaux de Pinieux - 56 220 Limerzel

Journée de Formation organisée par la Fédération Bretonne Légitimiste

 

Programme

 

aaaaaaaab.JPGConférences

1 - Principe du moteur de la Révolution - Le piège fatal du suffrage universel,

par Marc Faoudel (Agrégé)

2 - Pouvoir de droit Divin et lois fondamentales : à propos de Sainte Jeanne d'Arc,

par le Docteur Laplanche (Président du Cercle Légitimiste Madame Elisabeth) 

3 - Tradition religieuse et modernisme politique,

par Jacques Savéan (Professeur d'Histoire)

 

Horaires

 

zzzzzzzzz.JPG10H00 : Accueil

10H15 : Présentation de la journée

10H20 : Première conférence - Questions

12H00 : Repas (buffet froid servi sur place, participation libre)

14H00 : Deuxième conférence - Questions  

15H30 : Troisième conférence - Questions

16H45 : Conclusion et départ

 

 

Renseignements : 02 97 66 23 59 / 02 97 66 27 04

Bulletin d'inscription et plan d'accès :

http://documents.uclf.org/120421.pdf

Voir l'annonce de cette journée de formation sur le site officiel de l'UCLF :

http://www.uclf.org/page67.html#120421

bbbbb.JPG

07/02/2012

Le Forum Légitimiste

L’équipe de ce forum adhére sans restriction à la pensée légitimiste traditionnelle, telle qu'elle est défendue et promue par l'U.C.L.F.

dern-314a3c8.jpg

Son but est de faire connaître les Cercles UCLF de nos provinces, faciliter les contacts entre les légitimistes. Entretenir les échanges, produire des amitiés et des relations sincères.

Venez vous inscrire et participer au Forum Légitimiste :

http://royaume-de-france.clicforum.com/index.php

- Un cercle, c’est l’accès facilité à une culture légitimiste

- Un cercle, c’est votre participation, dans un cadre amical, aux affaires publiques

 

- "Refuser de prendre aucune part aux affaires publiques serait aussi répréhensible que de n'apporter à l'utilité commune ni soin ni concours".     Léon XIII

- « Le régime monarchique a un sens pour l'avenir parce qu'il est celui de la tradition française. Je vous demande de prendre votre place dans la société. »   Prince Louis de Bourbon

20/08/2011

In Memoriam / Gérard Saclier de la Bâtie

Gérard Saclier de la Bâtie

Gérard Saclier de la Bâtie nous a quitté

(Extrait du numéro 108 de la Gazette Royale)

Gérard Saclier de la Bâtie s’est éteint le dimanche 20 août 2006, après une longue maladie qui le tenait éloigné de nous depuis plus de dix ans. Homme de foi et de conviction, il se consacra très jeune à la diffusion de la doctrine légitimiste et ne manqua pas, sur le plan religieux, de s'engager résolument dans la résistance à la subversion qui envahit l'Eglise lors de la tourmente conciliaire.

La fidélité à sa mémoire nous commande de poursuivre son oeuvre. 

Sermon prononcé aux obsèques de Gérard Saclier de la Bâtie

Bien Chers Amis, Mes Bien Chers Frères,

sticker-croix-chretienne.jpgLe décès de Monsieur Saclier de la Bâtie nous rassemble autour de son corps. Et face à l 'événement , quantité de sentiments, de réflexions peuvent surgir à notre esprit : Pourquoi la mort ? Pourquoi la maladie ? Pourquoi la souffrance ? Quel est le but de notre vie ?

Autant de questions dont la réponse reflète l’état de notre âme face à Dieu, face à Sa sainte volonté exprimée par les décrets de la Providence. Je voudrais, cet après-midi, vous aider à vivre cette épreuve de la séparation avec les paroles de la Sainte Ecriture, Parole même de Dieu, et celles de la Mère Eglise, l’Eglise catholique, apostolique et romaine à laquelle appartient pleinement notre défunt.

Je voudrais tout d’abord vous montrer l’attitude du vieillard Job, qui était un homme, nous ditl’écrivain sacré, “intègre, craignant Dieu et éloigné du mal”. Et cet homme, fort riche, rencontra en peu de temps, par permission divine, quantité d'épreuves. Il perdit tous ses biens et tous ses enfants furent massacrés. En apprennant ces nouvelles qui broyaient son coeur, Job adora Yahweh et dit : “Dieu a donné, Dieu a repris, que le nom de Dieu soit béni”, et l'écrivain sacré continue : “En cela Job ne pécha point, et ne dit rien d’insensé contre Dieu”.

Voilà, mes Frères, le modèle de l’attitude chrétienne face au départ d’un être cher, de l’un des nôtres : la résignation aimante à la volonté divine, attitude de foi, de dignité, d’humilité. Mais, ne nous y trompons pas, mes Frères, l’acceptation de la Providence ne débouche pas sur le stoïcisme, sur l’insensibilité face à l’épreuve. Non, mes Frères, le catholique, comme tout homme, a un coeur, a une sensibilité qui souffre, mais il a la foi qui débouche sur l’espérance. Et c’est grâce à cette foi que saint Paul dans l’Epître aux Thessaloniciens (1 Tess. 4/13-18) peut nous écrire :

“Mes Frères, nous ne voulons pas que vous vous affligiez comme les autres hommes qui n’ont pas d’espérance. Car si nous croyons que Jésus est mort et qu’Il est ressuscité, nous croyons que Dieu amènera avec Jésus tout ceux qui se sont endormis avec Lui”.

 Pour Lui et pour nous, la mort n’est donc pas un anéantissement comme pour l’athée, une disparition totale. Mais elle est un rappel à Dieu, un passage de la vie terrestre à l’éternité, à la vie qui ne finira jamais.Ce qui faisait dire à sainte Thérèse de Lisieux :

“La mort, c’est la vie”. C’est pour l’âme en paix avec Jésus, en état de grâce, la fixation définitive dans le bonheur éternel de l’union à Dieu. Et c’est en cela, mes Frères, que malgré votre douleur, doit résider votre espérance".

Celui qui vous a quittés, qui vous a devancés, vous le retrouverez dans l’éternité si, comme lui, vous mourez en amitié avec Dieu, en état de grâce ; si, comme lui, vous savez éclairer votre comportement humain par votre foi authentiquement catholique. N’a-t-il pas, en effet, été à l’origine des Associations Saint-Pie V et de son Comité de Coordination lorsque la tempête moderniste s’est abattue avec violence sur la liturgie, expulsant les prêtres fidèles des paroisses et abandonnant les fidèles en plein désarroi. N’a-t-il pas, encore, été, face au cancer insidieux de la Révolution, le Président fondateur de l’Union des Cercles Légitimistes de France, illustrant cette belle parole de Pie XII :

“La politique c’est, après la prédication de l’Evangile, la plus grande des charités.”

Comme pour ses héros, les Vendéens, sa ligne directrice était :

Pour Dieu et pour le Roi”.

Dieu-le-roi_Vendee.jpgC’est une ligne de conduite à maintenir avec ténacité si nous voulons que le lien entre Notre Seigneur Jésus-Christ, le Roi des Rois et la France soit rétabli. Mais il y a un autre point sur lequel je voudrais m’arrêter : la mort n’est pas instantanément l’entrée au ciel, ou d’une autre façon : les bienheureux, à moins d’être morts martyrs, ou d’avoir été de grands saints, ne sont pas rentrés directement au ciel. Il y a ce lieu de purification, ce lieu de souffrance dans lequel l’âme des justes achève d’expier ses péchés avant d’entrer au ciel. Il y a le Purgatoire. Votre défunt, comme tout homme, excepté la Très Sainte Vierge Marie, votre défunt a connu l’humaine faiblesse, conséquence du péché originel, a connu le péché. Il lui faut donc, pendant un certain temps, au Purgatoire, purifier son âme des dettes dues au péché. Et c’est là, mes Frères, que le dogme de la communion des saints va trouver son application.

C’est là que votre attitude va être importante. Vous qui avez connu et aimé Monsieur Saclier de la Bâtie, vous pouvez l'aider par votre prière, par vos bonnes oeuvres, par vos pénitences, ou en faisant dire des messes. Vous pouvez l'aider à atteindre le plus rapidement possible la vision de Dieu, la vision béatifique. Car l’amour ne s’arrête pas à la mort. L’amour du prochain qui consiste à vouloir le plus grand bien pour lui, à savoir le Ciel, doit susciter en chacun d’entre vous cette générosité, ce dévouement pour l’âme de votre parent et ami. Par ma bouche, Monsieur Saclier de la Bâtie s’adresse alors à chacun d’entre vous, au plus intime de votre âme et y dépose ces paroles :

“Si vous voulez me retrouver pour l’éternité, soyez fidèles à votre baptême, soyez fidèles à votre foi catholique et à tout ce que cela implique pour Dieu et pour le Roi. Soyez fidèles à vos ancêtres. En un mot, soyez fidèles à Notre Seigneur Jésus-Christ jusqu’au bout, quoi qu’il en coûte. Je vous y aiderai”.

Oui, “Dieu amènera avec Jésus, ceux qui se sont endormis avec Jésus”.

Ainsi soit-il.

Père Jean-Marie de la Fraternité de la Transfiguration.

Chanteloup, le 23 août 2006

 

07/06/2011

Rappel : Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 11 juin 2011, à Pont à Mousson (54 700).

 

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06  46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr 

01/06/2011

Sous la bannière du Royaume des Lys.

 

bannière

La légitimité, c’est l’ordre, la tradition, la stabilité et le vrai. Rompant avec le désordre que la France subit depuis 1789.

Il n’y a pas d'autres « issues » possible pour les hésitants, les demi-vrais, les demi-faux, les partisans d’une monarchie constitutionnelle, ceux qui pensaient pouvoir vivre avec des « fragments » de vérité sans être obligés de rompre complètement avec les idéologies du carnage révolutionnaire de 1789. Si on veut le rétablissement de l’ordre et du droit pour la France, alors il faut le vouloir tout entier, c’est à dire avec le retour de la Monarchie Catholique Traditionnelle. Dont le droit ne peut être discuté, et ne peut être sujet aux caprices et tergiversations. L'existence d'un parlement composé de partis « politiques et clubs idéologiques » prétendant représenter la souveraineté du peuple au côté du roi n’est pas compatible avec la Tradition politique Française. A ce titre gardons nous bien de l'orléanisme et du bonapartisme, qui sont les seuls monarchismes à promouvoir la fusion avec les valeurs révolutionnaires, pour le résultat que nous connaissons déjà de par l’histoire...

Dans ce combat, il faut bien choisir, ou bien l’on se trouve du côté de l’ordre avec la légitimité et la tradition, ou bien l’on se trouve dans le camp de la révolution. Les entre-deux sont des révolutionnaires qui parfois s’ignorent, en regardant des deux côtés ils pensent qu’on peut faire de l’ordre avec du désordre, de l’autorité avec des principes qui sapent l’autorité à la base... Il faut bien choisir, c’est ou la Royauté Française, ou la république illégitime et maçonnique. Ou le drapeau blanc à fleurs de lys, ou le drapeau tricolore entaché du sang des martyrs catholiques et royalistes de la révolution... Il n’existe rien d’autre de possible entre les deux étendards.

Le grand défi de notre temps, consiste à nous débarrasser de ces haillons révolutionnaires et républicains ensanglantés qui nous déshonorent, et que l’on ose encore nous présenter comme les « grandes avancées » de 1789. Jusqu’à quand les méchants seront-ils seuls à montrer de l’énergie, à agir, à l’emporter presque partout, malgré leur infime minorité ?

Cette défection des forces contre-révolutionnaires vient sans doute de la réduction progressive des foyers légitimistes populaires qu'on pouvait encore trouver dans certaines campagnes très catholiques autrefois. Viviers Légitimistes qui ont hélas difficilement survécu à la reconnaissance de la république par l'Église. La prise de position de l'Église en faveur du « ralliement » ne nous facilite clairement pas la tâche, elle aurait toujours dû rester un allié solide en souvenir de l'alliance du trône et de l'autel. Il en va d'ailleurs de son propre intérêt, car la Révolution est tout autant spirituelle que politique. Aujourd'hui, quand on dit à certains catholiques qu'ils devraient être royalistes par cohérence, ils répondent justement que l'Église n'a plus de problème avec la république... Ce qui est une grave erreur de discernement, car l'Église reste toujours la cible privilégiée du système républicain mondialiste et apatride.

bannièreL’héritier de nos rois chef de la Maison de Bourbon, a l’honneur et la charge de représenter seul, aujourd’hui le grand principe de la légitimité. C’est de par ce principe, de par la tradition millénaire qu’il incarne, qu’il tient en ses mains le salut de notre France. La résurrection de notre patrie passe obligatoirement par le roi et la tradition. C’est pour cette raison que tous les hommes d’ordres doivent venir se ranger, sous la bannière du Royaume des Lys. Tous les gens de bien doivent aider le fils de Saint-Louis à accomplir toujours mieux sa mission au service du Christ qui est vrai Roi de France. 

Puissent les Français s'affranchir du joug maçonnique, en revenant franchement à la vraie tradition chrétienne et nationale, dont l'héritier de nos rois de par sa naissance, c'est à dire par la volonté de Dieu, est le seul représentant légitime.

20/05/2011

Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 11 juin 2011, à Pont à Mousson (54 700).

 

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06  46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr 

28/04/2011

Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 14 mai 2011, à Pont à Mousson (54 700).

 

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06  46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr 

17/04/2011

Rappel : Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 23 avril 2011, à Pont à Mousson (54 700).

 

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06  46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr 

06/04/2011

Nous ne serons jamais républicains, parce que nous sommes Français !

Armoiries_royales_France.jpgVoici résumé très exactement dans le simple titre de cette nouvelle note, la devise et l'exigence qui s'imposent aux légitimistes.

Dans cette société anesthésiée par la logorrhée du gouvernement et des partis politiques, c'est le devoir des défenseurs du Royaume de France et de ses lois, de continuer inlassablement le combat entamé naguère par « les Chouans ». C'est le meilleur moyen de rendre hommage à ces redoutables soldats de Dieu et du Roy, en témoignant par notre exemple que leur sacrifice pour la France n'a pas été vain. Il nous faut revenir, comme aiment à dire les modernes, « aux traditionnels fondamentaux », continuer le combat Contre-Révolutionnaire avec les moyens d'aujourd'hui.

Ce combat passe inévitablement par la formation. Nous former, nous instruire, élargir nos connaissances des institutions royales comme du monde contemporain. Faute de quoi, nous nous laisserons prendre par la matrice républicaine qui nous conduira inexorablement dans les voies du « politiquement correct » et du nivellement par le bas. Adopter le vocabulaire de l'ennemi, prétendre se déguiser momentanément « en républicain », pratiquer l'entrisme dans les partis politiques, c'est déjà entrer dans la défaite... Les mots et la façon d'agir ne sont jamais neutres. A les mal utiliser, on peut perdre son âme...

La république a proclamé que le peuple était « son propre souverain »... L'attitude des maîtres actuels de la France lorsque que le résultat d'un référendum est contraire à leurs intérêts, nous révéle le mépris que cette classe politique de corrompus vouent à ce « prétendu souverain ». Dès lors ils s'empressent toujours de modifier les règles du jeu pour contenir le nouveau problème et les mécontentements... Décidement il faut être bien naïf, où « aux ordres » pour croire qu'il est possible de reconquérir le pouvoir ou de faire respecter un droit naturel en s'appuyant sur une vague reconnaissance par l'opinion publique. Et pourtant certains continuent de croire qu'il suffira un jour d'élire un « bon président de la république » pour redresser la France, mais ce jour là n'arrivera jamais. Les faits nous démontrent au contraire, que c'est depuis que l'on use de ce moyen, que l'on s'éloigne de la France Catholique et Royale. Comment est il possible de continuer à préférer patauger dans la médiocrité d'un tel système, alors que nos armes naturelles pour la France se trouvent dans l'excellence Royaliste ?

L'opinion du peuple ? Les « vrais tenants » du système n'en n'ont que faire, elle n'est pour eux qu'une arme qu'ils s'efforcent de manipuler mais qu'il faut tenir à l'écart dès lors qu'elle risque de leur échapper des mains. Les états majors des partis politique de la république ne laissent pas entrer les intrus dans la puissante matrice, sinon en petit nombre, et toujours dans le but de les compromettre et les assimiler...

Notre fidèlité au Royaume de France nous impose ce refus catégorique de « l'assimilation » aux idéologies révolutionnaires. Nous ne pouvons pas être « républicains », parce que nous sommes, et entendons bien rester « Français » !

Reny_F

31/03/2011

Formation Légitimiste UCLF

Samedi 30 avril 2011

chateau-de-pinieux-limerzel.jpg

VIIème journée Saint-Louis

Châteaux de Pinieux - 56 220 Limerzel

Journée de Formation organisée par la Fédération Bretonne Légitimiste

 

Programme

 

aaaaaaaab.JPGPremier groupe : Autorité pouvoir et institution

1 - Pouvoir et autorité chez les classiques et les modernes

2 - Exemple de la nécessité d'une bonne institution

3 - Principe du moteur de la Révolution

Deuxième groupe : La pensée catholique à l'épreuve de la société moderne, 1830 - 1930

1 - Une alliance difficile en politique : l'archétype Louis Veuillot

2 - Des solutions économiques partielles : les catholiques sociaux (Timon David, les Frères Maignen, Léon Harmel, La Tour du Pin).

3 - Un naufrage religieux, politique et économique : l'Action Catholique des nuées du ralliement au progressisme chrétien.

Troisième groupe : Le nationalisme

1 - Le nationalisme : définition

2 - Le nationalisme depuis 1789

3 - Religion et Nation : une alliance suspecte

 

Horaires

 

zzzzzzzzz.JPG9H30 : Accueil

9H45 : Présentation de la journée

10H00 : Etudes en groupes

12H30 : Repas (Buffet froid servi sur place, participation libre)

14H30 : Etudes en groupes

16H00 : Bilan des études par les conférenciers  

16H30 : Départ

 

Renseignements : 02 97 66 23 59 / 06 32 53 25 79

Voir le plan d'accès :

http://photos.uclf.org/110430.jpg

Voir l'annonce de cette journée de formation sur le site officiel de l'UCLF :

http://www.uclf.org/page55.html#110430

bbbbb.JPG

21/03/2011

Analyse politique

élections,république,monarchie catholique,analyse politique,doctrine,traditionUne fois n’est pas coutume, et même si je trouve peu d’intérêt à commenter les rituelles frasques républicaines, je vais aujourd’hui me livrer à cet exercice dans un but purement pédagogique.

 

Bien que notre positionnement politique se situe à l’extérieur de ce système démagogique. Au lendemain du scrutin ayant eu lieu dans le cadre des élections cantonales, il me paraît opportun de prendre ma plume de Monarchiste afin de faire un bref exposé pour disséquer la situation politique actuelle de notre France, prisonnière du sectarisme laïc et républicain.

La « Gauche » tout d’abord, semble opérer la bonne opération au soir de ce premier tour. Si elle emporte cette victoire, ce puissant poison idéologique garantira en effet et comme toujours le caractère funeste dans l’application de chacune de ses prises de positions mortelles. La Gauche étant un grand vrac d’hystériques, qui maudissent principalement les mots « culture » , « tradition » et « racines ». Il ne faut pas s’attendre à une amélioration du niveau intellectuel et moral de notre civilisation si ce troupeau d’égaré venait à rafler la mise. Cette « Gauche » en révolution permanente, restant l’adepte du multiculturalisme, du nivellement par le bas, de l’impossible égalité absolue, de la confusion des genres, de la religion du laïcisme, du grand maternage, de la très-sainte et précaire subvention, et des prestations sociales à n’en plus finir...!

Un rapide coup d’œil suffit pour comprendre que la « Droite molle » a été la grande perdante de ce scrutin, malgré les « gesticulations sarkoziennes » dernières, notamment au Puy en Velay ou notre énervé national a redécouvert pour l’occasion l’héritage Chrétien de la France sur le chemin de Compostelle... Souvenons nous (il y a déjà cinq ans) des appels grotesques de l’ancien ministre de l’intérieur en direction de l’électorat « national et patriote ». Electorat crédule qu’il s’était empressé de trahir dès le lendemain de sa victoire présidentielle de 2007. Dans une Monarchie Catholique Traditionnelle, l’actuel saltimbanque de l’élysée pourrait tout juste prétendre au titre honorifique de « bouffon du roi », et encore...

Ce camp d’imposteur prétendu « conservateur » marche en réalité bras-dessus bras-dessous avec la Gauche caviar et impie dont nous venons de dresser le rapide portrait plus haut. La dissolution des frontières nationales, la mort programmé des institutions traditionnelles telles que la famille sont l’œuvre d’une Droite républicaine corrompue avec la révolution depuis sa plus tendre enfance. Et pour preuves : aujourd’hui cette Droite courbe l’échine devant l’Europe mondialiste, devant les imams, devant la déculturation, devant l’athéisme à marche forcée, devant les exigences des puissants lobbies et de l’insupportable repentance...  

Voyons maintenant la poussée de la droite présentée comme « extrême » dans ce scrutin... Le tableau de cette famille républicaine sans grandeur d’âme, reste en effet incomplet si nous omettons de préciser que notre refuge et nos espérances ne se trouvent pas dans le résultat électoral de la « droite nationale ». Incontestablement en tant que Royalistes Légitimistes Contre-révolutionnaires, nous sommes attachés à la tradition de notre pays, à la messe traditionnelle par exemple, à l’amour de la France, à l’amour de notre patrie, à l’amour de ses racines et de son Histoire. Mais ce n’est pas pour autant que la Droite-de-la-Droite nous ressemble et nous séduise.

De façon générale, les partis politique les plus à droite restent profondément républicains. Bien qu’ils soient les seuls partis qui ne considèrent pas le patriotisme comme un gros mot, ils tirent leur seule espérance politique des urnes... La Nation défendue par les souverainistes de la droite « dure » est une idée révolutionnaire. Il est facile de le constater, ces gens adorent le drapeau tricolore de la République ! Voilà une autre raison qui marque notre profonde différence. Pauvre Sainte Jeanne d’Arc, tous les ans au mois de mai, on l’entoure du bleu-blanc-rouge festif de la Gueuse ! Quelle indignité, quelle manque de classe, quel disgracieux affront ! Une fleur de Lys ou un étendard blanc, ça a quand même plus de tenue : ça vise un objectif moral, spirituel, intellectuel, esthétique et historique de haute volée.

Quant à « La Marseillaise » reprise par les partisans de ce patriotisme républicain d’opérette, rappelons brièvement qu’à l’origine il s’agit d’un chant maçonnique de canaille déicide et satanique... 

Un mot à présent sur les abstentionnistes. Nous retrouvons là sans aucun doute les déçus et les blasés de ce système corrompu jusqu’à l’os. Nous voudrions leur dire de ne pas perdre espoir et qu’il existe autre chose que la république et sa politique néfaste, que la France ne peut pas être autre chose qu’une Monarchie Catholique. La démocratie intégrale au niveau national est une mascarade qui n’abuse que les naïfs. Notons que les légitimistes se sont souvent prononcés pour une démocratie locale où les gens pourraient s’exprimer sur un nombre de sujets à définir, cela dans le cadre des provinces où, autrefois on trouvait l’intendance et le parlement. En un mot : l’autorité Royale en haut, et les libertés locales en bas. Schéma à l’heure actuelle totalement impossible, car il faudrait d’abord restaurer une bonne autorité en haut, une autorité légitime qui soit conforme à la nature réelle, à la loi naturelle et à la vocation Catholique de notre France...

A ces déçus nous voulons simplement rappeler qu’il existe l'Union des Cercles Légitimistes de France (UCLF), qui est un mouvement royaliste qui a la particularité et l'honneur d'être le seul en France à maintenir politiquement l'intégrité de l'héritage français et légitime. C'est une tâche essentielle à une époque où même ceux qui se croient le plus français sont largement contaminés par les idéologies révolutionnaires.

 

14/03/2011

Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 23 avril 2011, à Pont à Mousson (54 700).

 

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06  46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr 

15/02/2011

Réunion du Cercle Robert de Baudricourt

La prochaine réunion du Cercle Robert de Baudricourt se tiendra à 16h00 le samedi 05 mars 2011, à Pont à Mousson (54 700).

 

 

 

Renseignements et réservations au : 03 83 81 00 29 / 06  46 77 66 85

par courrier internet : ro.beaudricourt@sfr.fr 

14/01/2011

Sortons de la matrice européenne !

euro.jpgLa polémique au sujet de l’agenda édité par la Commission européenne à destination des élèves de l’Union européenne bat son plein en Occident. « Tout le monde en parle », comme le titre d’une célèbre émission... Diffusé à plus de 3 millions d’exemplaires, cet agenda mentionne les fêtes musulmanes, hindoues, sikhs, juives, etc. à l’exception des fêtes chrétiennes bien évidemment... Pour nous qui sommes dans la lumière, il est particulièrement difficile de nous étonner de cette nouvelle violence mondialiste faite à l’égard de notre religion.

Le reste de la France et de l’Europe semble découvrir la nouvelle avec stupéfaction, indignation, horreur et inquiétude. On hurle au scandale, voilà donc une bonne occasion pour nos républicains « conservateurs » de se manifester et de monter au « front ». Alors que le reste du temps ils ne font que pactiser avec ceux qu’ils prétendent aujourd’hui combattre... Voilà venu le temps des « déclarations médiatiques »,  « des pétitions », et de la stratégie de la « récupération politique ». Les Français (pensant toujours bien faire) se laissent piéger et s’associent immédiatement sans se poser plus de questions avec les collaborateurs des agents de notre propre disparition (Méditez bien cette dernière phrase, elle est importante !).

Nous pouvons d’ores et déjà le prédire, sans prendre trop de risques. Tout cela finira comme d’habitude par un marchandage démocratique honteux, dans lequel sera sacrifié une fois encore, une partie non négligeable de notre identité au profit de celle des autres. A croire que le système tape plus fort dès le départ, pour accorder ensuite aux « démocrates contestataires » quelques miettes dont ces derniers ne manqueront pas de se satisfaire (sic) !

Impossible dans ce cadre démocratique de viser la restauration de l’ordre social chrétien. Il manque à ceux qui veulent vraiment faire quelque chose pour la France cette lumière surnaturelle et spécifique qu’est le véritable esprit du catholicisme. Cette cécité intellectuelle étant le péché de tous les naturalistes, châtiment de l’orgueil. On ne peut admirer profondément l’Eglise Catholique, lutter contre ses ennemis avec efficacité, sans savoir que cet ordre Chrétien est l’effet d’une action surnaturelle.

Voilà la raison profonde des échecs répétés par ceux qui veulent défendre une certaine idée de la France, de ceux qui veulent utiliser la religion comme un « simple accessoire » de notre identité.  Accessoire que l’on pourrait brandir quand ça nous plaît ou simplement quand le besoin s’en fait sentir - le reste du temps se laissant aller à des choses secondaires, matérielles et superficielles. Cette attitude contraire vient de leur fausse vision du réel, essentiellement parce qu’ils oublient que la France est avant tout une création de Dieu, et que la république (le contraire de la France) ne peut être combattue qu’avec une authentique Contre-Révolution visant à restaurer l’ordre social chrétien.


Ainsi les « catholiques républicains » (contresens et mariage impossible) se dépensent donc inutilement à répondre à nos ennemis sur leur propre terrain. Folies dont les conséquences sont fatales ! Que d’efforts, que de sacrifices, pour récolter une série renouvelée d’échecs de plus en plus graves. Il faut bien le dire, car c’est d'un constat qu'il s'agit, les Français ont perdu ledlr.jpg sens du vrai combat contre-révolutionnaire, parce qu’ils n’ont plus le sens du surnaturel. Ils ne savent plus que s’il faut combattre, certes, c’est cependant « Dieu qui donne la victoire » ! Le retour au réel, et le vrai combat pour la France passe obligatoirement par une pratique plus rigoureuse et traditionnelle de notre religion, doublée d’un attachement sans équivoque à la légitimité naturelle.

 

      Reny.F

06/12/2010

La définition de l’identité Française

robin.gif

A chaque nouvelle élection, chacun aura remarqué que le thème de l’identité nationale revient sur le devant de la scène politique. Chaque parti cherchant pour l’occasion à s’en faire le défenseur, c’est le temps des promesses et des discours sans lendemain.. A notre époque où tout est beaucoup trop relativisé, il convient de bien s'entendre sur les mots, et sur les définitions précises. Exigence certes plus que nécessaire afin de lever toute ambiguité, surtout sur des concepts aussi important que ceux de la politique et de la philosophie. Le but étant surtout de ne pas tomber dans le panneau du formatage idéologique républicain : la monarchie c’est le mal, la république avec sa laïcité, sa liberté, sa tolérance, son libéralisme économique, etc... serait le bien... 

La France est un pays de tradition catholique et non laïque, comme on veut nous le faire croire dans le sens moderne et républicain du terme. La laïcité telle qu'on l'entendait autrefois signifiait la distinction des pouvoirs temporel et spirituel, mais aucunement la liberté de culte intégrale et la reconnaissance de l'égalité des religions et des opinions philosophiques diverses... Il suffit pour s’en convaincre de se souvenir que le Roi de France lui même devait s’engager publiquement à combattre6clovis.jpg l'hérésie lors de son sacre. De ce fait, la France catholique traditionnelle, ne peut en vérité s’accommoder d’un quelconque régime politique démocratique abstrait, puisque l'autorité vient de la tradition (d'en haut et non d'en bas).

La pratique démocratique présuppose d’ailleurs l'entrée dans une démarche clientéliste, où les valeurs morales seront toujours très secondaires, selon les courants, ce n'est plus la politique pour le bien commun mais le système de l'offre et de la demande. Entrer dans le jeu de la démocratie moderne c'est se condamner à ne plus oser parler vrai, et à se renier publiquement. 

En vérité, la laïcité républicaine, fruit de la révolution de 1789 ne poursuit qu'un seul but : détruire la religion Catholique en France. Mais comme cette nouvelle parodie de religion ne propose rien de bien de solide en remplacement et que la nature n'aime pas le vide, ce sont les autres religions et sectes diverses qui gagnent du terrain aujourd’hui sur notre sol... Le laïcisme républicain, en dépouillant la France traditionnelle du catholicisme, rabaissant notre religion au rang de tous les autres cultes sur son propre territoire, la condamne à se fondre dans l'indifférenciation. Ce processus entamé depuis la révolution, a rendu notre civilisation mûre pour sa dissolution dans la mondialisation la plus barbare et sauvage... 

Concernant l’école laïque et gratuite, il faut savoir que c’est un mythe fondateur de la IIIe république. L’école n’a pas attendu cette dernière pour être gratuite, la IIIe république n’a rien inventé. Les écoles de l’Ancien Régime n’étaient pas nécessairement payantes, nous pouvons prendre l’exemple des Frères des Ecoles chrétiennes, fondés en 1681 pour instruire gratuitement les enfants du peuple. En fait la grande invention de la IIIe république était plutôt la laïcité scolaire, portée à l’époque par un anticléricalisme acharné très à la mode dans les élites tenant le pouvoir (Toujours présent et virulent de nos jours). Le but des différentes lois portant sur l’éducation vers la fin du 19ème-début du 20ème siècle étaient d’ailleurs plus de laïciser (comprendre athéiser !) l’école, comme le reste de la société, que de permettre à tout le monde d’être correctement instruit... 

En résumé et en raison des conditions de sa naissance et de sa tradition, notre pays s'est toujours inscrit dans l'ordre catholique du monde. Mais, au niveau du mode de gouvernement c'est le Roy qui détient la souveraineté temporelle. C'est ce qui fait que la st_michela.gifFrance n'a jamais été une théocratie.

 

Le combat légitimiste entend bien affirmer l'essence catholique de notre France, et ce ne sont pas les opinions particulières et individuelles qui doivent nous détourner de cette vérité fondamentale. Le combat légitimiste est une fidélité à la tradition française qui ne dépend pas d'une incarnation populaire relative et démocratique mais d’un principe irréductible : l'alliance du trône et de l'autel. 

La France doit donc cesser de se renier et rétablir sa religion d’Etat, qui est le catholicisme apostolique et romain. Un Français ne peut y être que favorable, car telle est l'âme de notre pays, et que sans notre religion qui a élevé chaque pierre de notre patrimoine, jamais le Royaume de France n'aurait été porté à un tel dégré d'excellence culturel et spirituel. 

 

21/10/2010

La Légitimité Royale Française et les avatars du royalisme...

gardes.JPG

1- Les Légitimistes :

Tout d'abord il est bon de préciser que les légitimistes ne sont pas un courant du royalisme, une tendance où une catégorie particulière. Comme nous l'avons déjà affirmé à plusieurs reprises sur ce site. La légitimité est, dans son essence, la plus ancienne tradition politique de notre pays puisqu’elle remonte à Clovis. Elle défend cette monarchie catholique qui durant treize siècle a construit la France dans l’amour réciproque des peuples et du Roy. La pensée légitimiste est la seule authentiquement traditionnelle car elle n’emprunte rien aux idéologies, toutes issues de la Révolution. Les légitmistes tournent donc aujourd'hui leurs regards vers l'ainé de la branche encore solide de l'arbre Capétiens-Bourbons et reconnaissent le Prince Louis comme étant le chef de cette famille et comme seul héritier légitime du trône.

La conviction légitimiste est intimement liée à la Foi Catholique. La légitimité politique se définit historiquement par le respect des lois fondamentales de France, notamment le serment du Sacre. Clovis devient en 496, le seul roi légitime parmi les rois barbares du fait de son baptême et non de sa force. Le baptême, la légitimité dynastique, ne suffisent pas : encore faut-il une politique légitime. C’est le grand message du comte de Chambord (Henri V), qui n’a pas voulu être le souverain de la Révolution (c’est le sens de son refus symbolique du drapeau tricolore).
 
Cet esprit de la monarchie catholique traditionnelle existe toujours. A la Toussaint de 1979, Monsieur Gérard Saclier de la Bâtie entreprît de recréer un grand mouvement politique “royaliste-légitimiste” : ce fut la fondation de l’Union des Cercles Légitimistes de France (U.C.L.F.). Ce mouvement reprend toute la tradition défendue par Henri V et le légitimisme historique : une tradition qui restaure le droit dynastique de France, et qui s’oppose aux idéologies filles de la Révolution.

Pour nous défenseurs du royaume, il est clair que les institutions monarchiques sont le rempart nécessaire d’une société de Droit naturel et chrétien. Les légitimistes trouvent naturellement leurs armes politiques dans un esprit opposé à celui qui défait les sociétés occidentales (attaque de la religion catholique, subversion culturelle, terrorisme d’État ou terrorisme totalitaire importé des pays ennemis de l’Occident chrétien).
Cet esprit de la monarchie chrétienne traditionnelle : c’est lui, et lui seul, qui peut encore sauver nos sociétés minées par ces créatures révolutionnaires que sont, le socialisme délétère, le nationalisme haineux et enfin, le libéralisme individualiste dont la forme totalitaire (la technocratie asservie au grand capital) s’impose de plus en plus.


La plus grande et insupportable usurpation de la royauté Française : l'orléanisme


2- Ensuite viennent donc les Orléanistes. Les Orléans ont toujours été dynastes, cependant les Lois Fondamentales du Royaume les placent très loin derrière la branche aînée d’Anjou. Un prince d’Orléans désirant malgré tout satisfaire une ambition royale doit donc renoncer au principe de légitimité pour ne mettre en avant que sa seule personne. Le Comte de Paris est l’exemple extrême de cette stratégie préconisée par son aïeul, l’usurpateur Louis-Philippe. L’abandon de la transcendance pourtant inhérente à la monarchie, le condamna tantôt à faire une cour servile au pouvoir en place, tantôt à se prostituer à l’opinion du jour, abdiquant de fait tout courage et tout honneur.

Pour légitimer son usurpation de 1830, Louis-Philippe d'orléans revendique une monarchie populaire par opposition à la traditionnelle monarchie royale. Ce qui est une synthèse entre monarchie et démocratie, cet abandon du régime de conseil pour le régime d’opposition est préjudiciable au bien commun. En effet, l’existence d’une opposition constitutionnelle, inhérente au gouvernement représentatif, rend celui-ci impotent tant elle excite l’ambition, exaspère les passions et pervertit jusqu’aux plus vertueux.
A noter dans l'arbre généalogique de la famille d'orléans, la présence du régicide Philippe d'Orléans (Dit Philippe Egalité : adepte de la Franc-maçonnerie). Philippe d'orléans à été jusqu'à voter la mort de son cousin le Roy Louis XVI.
Il faut souligner également que l'appartenance des dits prétendants orléanistes à la Franc-maçonnerie est totalement incompatible avec la charge royale, qui suppose d'être libre de toute autre appartenance que celle due à Dieu et au Royaume. Bref, l'orléanisme est un royalisme libéral et calculateur, une variante des droits de l'homme, ce qui est une farouche opposition aux droits de Dieu !

 

Les Naudorfistes : où autres adeptes de la survivance...
 

3- Les royalistes survivantistes.

Pour les survivantistes, le dauphin Louis devenu Louis XVII aurait été libéré par une conspiration qui lui aurait substitué un autre enfant, mort peu après dans la geôle du Temple. Après bien des vicissitudes, il serait réapparu à l'age adulte en Hollande sous l'identité de Naundorff. On dit par conséquent aussi bien Naudorfistes que survivantistes pour définir cette nouvelle tendance du royalisme. Naundorff ayant laissé une postérité, il existe aujourd'hui un de ses descendant qui s'estime seul héritier du trône...

Et pourtant la question de la survivance est réglée avec certitude depuis 1825, et le toucher des écrouelles de Charles X: les procès-verbaux sont reproduits dans le Manifeste. La guérison miraculeuse des écrouelles est accordée non pas à la personne mais à la fonction, si l'on peut dire. Donc, quels que soient les mérites personnels du Roi, le miracle s'accomplit parce qu'il est le Roi: c'est un signe certain de légitimité, qui a toujours été compris comme tel depuis le XII°siècle.
Et si Charles X était bien légitime en 1825, cela signifie que Louis XVII ne pouvait avoir survecu aux mauvais traitements subis durant sa captivité à la Tour du Temple...
De plus, la réfutation de la mort au temple du Dauphin est grave pour un royaliste. En effet la négation du martyr de l'enfant roy est un choix bien délicat...

A noter aussi la multiplication impressionnante des faux dauphins depuis Naundorff, et que les fantaisies diverses sur ce chapitre ne manquent pas... Le fait que les faux dauphins soient assez nombreux, engendre le problème pour les survivantistes de l'embarras du choix (En même temps c'est très pratique pour ces royalistes survivantistes qui pensent et agissent comme des républicains !)

 


Les providentialistes


4- Les Royalistes providentialistes.

Cette dernière tendance bien que différente et parfois opposée à la précédente, peut aussi se confondre en une seule. En vérité, cela dépend des individus puisque c'est toujours d'un "royalisme à la carte" qu'il s'agit...

Le providentialisme est une doctrine qui compte uniquement sur l’intervention divine pour résoudre le mal social et qui attend une sorte d’âge d’or. Dans l’optique pessimiste du providentialisme, l’action humaine est inutile, la raison est suspecte, Dieu intervient miraculeusement sans aucun concours, sans aucun effort de l’homme.
En déconsidérant l’intelligence humaine, le providentialisme ignore cette part que Dieu laisse aux hommes dans la façon de s’organiser. Il néglige la science morale et la science politique qui en fait partie, sciences qui étudient la nature humaine et qui ont pour finalité de construire la cité en vue du bien commun.

Les royalistes providentialistes finissent par remettre en cause toutes les hiérarchies et attendent absolument tout de Dieu sans rien faire. Ce qui est radicalement opposé à la légitimité et à la défense de ses principes. Le providentialisme est vraiment un mal social terrible, on voit rarement des providentialistes dans un groupe de travail si ce n’est pour proclamer un défaitisme perturbateur. Jamais ils ne prennent de responsabilité pour le bien commun.
En fait, ils refusent tout engagement dans une association car cela demande un effort de chaque instant, une foi, une persévérance et une acceptation des autres qui font peur. Non ! Ils attendent le miracle. Pire ! Ils l’exigent, et en l’annonçant à qui veut l’entendre, ils pensent s’acquitter des devoirs envers la Cité. La superstition les envahit ; à l’affût de toute sorte de prophéties, ils voient des signes précurseurs partout. Par un orgueil démesuré, ils finissent par se persuader qu’ils sont dans la confidence divine quant à Ses desseins pour l’avenir.

Souvenons nous que pour continuer de jouir de Sa grâce, le Bon Dieu nous demande notre participation, notre effort, notre zèle à travailler pour le bien de nos semblables. Autrement dit, Il nous demande d’œuvrer selon nos moyens pour le bien commun, et par voie de conséquence, pour l’institution qui seule peut assurer durablement l’unité harmonieuse. L’enseignement de la très légitimiste Sainte Jeanne d’Arc est à ce sujet très explicite : «  les hommes d’arme batailleront et Dieu donnera la victoire. »

09/08/2010

Les valeurs de la civilisation Française Traditionnelle et Légitime.

300px-Sc%C3%A8ne_de_la_guerre_des_chouans.jpg

En ces temps de trouble, de cruelle perte de l'identité, du manque de repères et de l'écrasement si ce n'est de l'inversion totale des valeurs Chrétiennes fondamentales. De la triste période de l'absurdité, des trahisons les plus infâmes et des renonciations abjectes et indigestes en tous genres. Le devoir du légitimiste intègre, tel celui du gardien, ou d'un simple veilleur, sera de conserver intacte ce qui fit jadis l'honneur et la grandeur de la France Monarchiste et Catholique. En montrant toujours l'exemple à nos compatriotes contre vents et marées, avec charité, honnêteté, droiture, franchise et respect total de nos traditions ancestrales.

Non ! Il n'est pas permis de pactiser sous une forme où sous une autre avec les agents de l'imposture, de la corruption et du mensonge. Et celui qui franchit ce pas, ne peut plus de ce fait revendiquer de porter le beau nom de "Légitimiste"...

Le combat peut certes être culturel, mais en dernier ressort seulement. Il sera tout d'abord spirituel avant d'être temporel et au final culturel. Voilà comment les choses doivent être prises dans le bon ordre. Imaginer un seul instant pouvoir mener ce combat dans le sens inverse, c'est s'embourber inévitablement dans les pièges les plus grossiers tendues par la révolution maçonnique des "droits de l'homme". Nul n'a jamais pu utiliser les fossoyeurs de la France réelle pour travailler au redressement du Trône de Dieu sur terre.

Les royalistes oecuméniques qui pensent pouvoir faire de l'entrisme au sein d'un parti politique républicain, les nationalistes qui mélangent Sainte Jeanne d'Arc au tricolore et ceux qui osent déposer le Sacré-coeur de notre Seigneur Jésus-Christ sur le drapeau de la révolution, les catholiques libéraux et républicains sont tous dans une totale, radicale et fatale contradiction.

wpe19f5070.jpg

Les Légitimistes soldats de la vérité doivent inlassablement dénoncer que le vote à l'échelle nationale est une supercherie.

Nos compatriotes sont aujourd'hui persuadés d'avoir du "pouvoir" en faisant usage du suffrage universel. Alors qu'ils n'en ont en vérité aucun... Pire que cela même, cette pratique les empêchera toujours de se plaindre de la politique qui est menée. Le système leur répondra alors :

"Mais c'est bien vous qui avez voté ! Alors de quoi vous plaignez vous ? Si les choses vont mal après tout, c'est bien de votre faute..."

Nous voyons à quel point il est facile pour les dirigeants de la France actuelle, de se cacher derrière la prétendue "volonté populaire", ils font ainsi supporter au peuple Français une responsabilité qu'il ne peut pas assumer. Et se déresponsabilisent eux-mêmes par la même occasion tout en profitant des avantages personnels et nauséabonds que leur offre ce système perfide, médiocre et désastreux pour le pays réel.

Nous remarquerons ici, la différence entre l'ancien régime et le système républicain. Le Roy de France avait politiquement une obligation de résultat, car il transmettait son royaume à son propre fils. Il ne pouvait donc pas se permettre de laisser à son successeur un royaume dans un mauvais état. L'intérêt de l'hérédité du pouvoir est que cela permettait une politique sur le long terme, le fils continuant dans la lignée du Père. Aujourd'hui, le président de la république est élu pour 5 ans seulement, profite de la place, et se moque bien de qui sera le prochain... Sans compter que l'alternance droite / gauche empêchera toujours de mener une politique efficace et durable allant dans le seul intérêt du pays (les uns annulant les mesures et les lois que les autres viennent de mettre en place juste avant eux...) Bref cette politique ruineuse condamne non seulement le peuple Français à la régression, mais à la disparition historique sur le long terme...

En résumé il n'y a que la Monarchie Traditionnelle qui pourra un jour sauver la France de la faillite et de la mort à laquelle la république la condamne. Si autrefois dans le pays réel et sous nos Rois le peuple était dirigé, en république il est aujourd'hui manipulé.

Dans notre monde Légitimiste en "éveil", nous n'avons pas le droit de renoncer à nos traditions Françaises, et d'abandonner ainsi nos compatriotes à la société de la consommation, du profit et de l'argent roi.

 

Mavendorf.

wpe19f5070.jpg