f1g2a3s4b5

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/05/2012

Regard d'un Chouan sur l'élection présidentielle

chouan.jpgBien que François Hollande ait bénéficié du soutien inconditionnel des imams et des recteurs des mosquées, il paraît peu probable que ce soit cette frange de la population qui a fait cette fois la différence. Pas plus que la proposition de loi sur le mariage gay, mesure qui est sans doute très loin d'être la préoccupation fondamentale de la société actuelle.

A propos de l'islam, les musulmans n'ont pas besoin de voter d'ailleurs pour s'attirer les faveurs de la république, cela se fait très bien naturellement comme pour toutes les hérésies, fausses religions, lobbies et sectes en tout genre. A l'inverse des Catholiques qui tentent maladroitement depuis la chute de la Monarchie Traditionnelle d'utiliser les moyens du système maçonnique pour lui résister..., voir de le renverser sans succès..., comme le savent très bien les légitimistes, qui ont pris le temps puis le soin au préalable d'étudier politiquement les racines du mal et le mécanisme infernal des « sociétés de pensée »...  

Le résultat de cette élection présidentielle est plus un profond désaveu de l'électorat « conservateur » vis à vis de la « politique droitiste » toujours préconisée par Nicolas Sarkozy en période électorale, suivie d'aucune mesure sérieuse de mise en oeuvre pour accomplir le programme sur lequel il a été élu. Tout le monde se souvient par exemple que les discours de 2007 sur « l'identité française » et le nettoyage « au Kärcher » ont été suivi de la création du C.F.C.M, et du référendum sur le traité européen par la voie parlementaire...


La droite ne s'appelle finalement droite que parce qu'elle est moins à gauche que la gauche. Et peu importe qu'elle soit « extrême » où non, il n'y a pas de différence à la base de fondements philosophiques ni de valeurs, la droite comme la gauche a accepté le préalable révolutionnaire. Aucune écurie du système ne peut donc logiquement constituer un frein ni même une alternative politique sérieuse, solide et tenable à l'esprit de la révolution. Alors certains craignent aujourd'hui avec l'élection de Hollande une accélération du processus « gauchiste républicain », c'est fort probable en effet... Il est fort possible que cette « accélération » puisse engendrer malheureusement dans la société une sorte de relativisme que nous pouvons déjà regretter, c'est ce que nous pourrions appeler le « fatalisme » des faibles. Cependant de la même manière et instinctivement, il est évident que ce même phénomène de gauchissement "aigu", va produire un durcissement de la force Royaliste Traditionaliste déjà existante et opposée au système impie dominant. Seule force politique possible crédible et efficace pour le redressement salutaire de la France de Jeanne d'Arc. Le camp contre-révolutionnaire des Chouans va continuer à se renforcer, les bataillons de la tradition et de la légitimité de croître 

Les légitimistes instruments de la providence ont le privilège de verser à boire à toutes les fleurs de Lys desséchées du doux Royaume de France, dans l'espoir de les voir refleurir en abondance un jour sur la terre tant aimée de nos ancêtres et pour la plus grande gloire de Dieu !


Reny_F

 

08/11/2011

La naissance de Sainte Jeanne d'Arc célébrée l'an prochain à Domrémy sans les légitimistes !

basiliqueSuite à l'appel aux bénévoles lancé sur le site Eglise Catholiques des Vosges :

http://www.catholique-vosges.fr/spip.php?page=article-dom...

Président et secrétaire général du Cercle Robert de Baudricourt se sont rendus à la Basilique de Domrémy-la-pucelle (salle Saint-Michel) le lundi 07 novembre 2011, pour participer à la réunion de préparation dans le cadre de l'organisation des fêtes du 600ème anniversaire de la naissance de Sainte Jeanne d'Arc.

La réunion entamée, l'Abbé Lambert a demandé à Messieurs Reny et Miller dirigeants du Cercle, de présenter brièvement leur association légitimiste ainsi que leur motivation dans le cadre de ces journées de commémoration. Sur le premier point, nous avons rappelé tout d'abord la mission de Sainte Jeanne d'Arc mandatée par le ciel, qui consista essentiellement à conduire le dauphin à Reims pour qu'il prenne le Royaume de France en commande selon la volonté de « Messire ». Et que par conséquent l'objectif principal des légitimistes aujourd'hui, est de transmettre aux jeunes générations la tradition résultant de ce précieux héritage. Sur le deuxième point, dans le soucis d'apporter notre soutien et notre contribution bénévole à ces journées. Nous avons proposé à l'organisateur de cette réunion de disposer d'un stand visant à faire connaître le combat mené par la pucelle d'Orléans au service du trône et de l'autel, ainsi que notre amour pour l'histoire de France à travers les articles disponibles dans la boutique de notre Cercle.

En opposition à nos arguments, Monsieur l'Abbé nous a rappelé l'histoire de France contée par Michelet...! L'aspect strictement religieux et spirituel de ces fêtes a été avancé, oubliant pour le coup un peu vite qu'ateliers et conférences (conférences d'ailleurs dont nous pouvons déjà nous interroger sur l'orientation historique du contenu) sont déjà prévus au programme...

blasonIl nous est apparu que la partie était déjà jouée avant notre arrivée, l'assistance visiblement hostile et préparée s'est « démocratiquement » prononcée contre notre participation. Vous êtes nombreux sur nos pages à nous soutenir, n'hésitez pas transmettre votre avis via le site internet dédié à cette manifestation. Merci d'avance pour votre soutien.

 

Reny_F

27/10/2011

Idéalisme ou réalisme politique ?

 

Lorraine LégitimisteSouvent les légitimistes sont accusés par leurs opposants d’être des « idéalistes », de mener un combat politique dépassé, utopique, stérile, inutile, irrationnel, bref « de ne rien faire concrètement pour la France ». Le manque de réalisme serait donc la « tare » du combattant légitimiste, alors qu’il est sollicité régulièrement par ceux qui ont fait le choix démocratique d’abandonner le camp de la Monarchie française traditionnelle, pour celui des clubs idéologiques révolutionnaires de la république...!

 

Tout d’abord, il convient de rappeler la signification de l’idéalisme. L’idéaliste est une personne coupée du réel, qui rêve d’une chose impossible à atteindre, « on rêve d’un idéal », d’une société que l’on exige parfaite (L’impossible égalité républicaine des socialistes est l’exemple sans doute illustrant le mieux cette pure démagogie). La France n’existe pas dans l’imaginaire du combattant légitimiste, elle est bien une réalité concrète et précise, que lui seul est en mesure de rappeler sans rentrer dans des balivernes démocratiques. De ce simple constat essentiel pour la suite de cette publication, nous pouvons affirmer en toute logique qu’il n’est pas possible de défendre l’âme d’un pays que l’on ne connaît pas ou plus. Comment prétendre défendre la France, alors que l’on ignore ce qu’elle est vraiment ? Rappeler sans cesse la tradition politique française (donc le réel) comme le font les légitimistes, sans céder aux chants des sirènes de la démocratie, est indispensable à une époque où le système habitue les Français à la cruelle perte progressive de notre identité nationale au profit de la « mondialisation ».

Et puis, que n’a-t-on pas raconté comme mensonges pour faire craindre la Monarchie aux Français ? Après tant d’années de lavage de cerveaux, que de gens, par exemple, sont fermement convaincus qu'avant la Révolution, la propriété était le privilège exclusif de la noblesse et du clergé. Alors que nos archives sont pleines de documents qui attestent le contraire, la propriété était accessible depuis longtemps à tous, nos ancêtres profitaient à cet égard même d'une plus grande liberté que nous.

Que n'a-t-on pas raconté sur les privilèges de la noblesse ? Pourtant, son premier privilège n'était-il pas de verser son sang pour la défense du Royaume ? La noblesse n'était pas une caste fermée. Jusqu'au 18ème siècle, le mérite en ouvrait d'ailleurs l'accès à tous.

Je ne m'étendrai pas sur la question des impôts. Et à vrai dire, si on faisait la comparaison du fisc ancien et du fisc actuel, elle ne serait pas à l'avantage de celui- ci. Il est puéril de se récrier contre la dîme de jadis, alors que peut-être nul pays n'a jamais été imposé comme l'est aujourd'hui la France.

Et si nous passons à la question de l'éducation qui fait tant de bruit aujourd'hui, je soutiendrai que le passé n'avait rien à nous envier sous ce rapport. Surtout lorsque l’on voit les tragédies actuelles dans les établissements scolaires...Voilà le résultat, depuis que l’état jacobin a voulu imposer aux enfants du peuple l'enseignement sans Dieu… Il est impossible que l'homme, être doué d'intelligence et de volonté, ait une autre fin que de connaître et d'aimer Dieu.

L’idéalisme politique contrairement aux arguments fallacieux avancés par les démocrates conservateurs, n’est rien d’autre que la suite logique du « pragmatisme », du choix possible, et de la politique du moindre mal… La vérité est que, dans une écrasante majorité, les opposants à la légitimité sont des adeptes du suffrage universel. L’histoire nous démontre tout d’abord que cette pratique n’a jamais fait progresser les vertus chez l’homme (Contrairement à la pratique de la religion catholique), que le vote a engendré les pires erreurs humaines et les pires dictatures révolutionnaires, et surtout qu’il n’a cessé d’éloigner les Français du Royaume du Lieu-tenant du Christ vrai Roi de France.

Le vote pour désigner le chef d’Etat serait la solution trouvée au problème politique qui nous préoccupe ? Voilà une imposture contre-nature, qu’il n’est pas difficile de vérifier :

Prenons l’exemple d’une société humaine plus petite que le Royaume : l’entreprise. Avons-nous déjà vu des ouvriers choisir leur chef d’équipe, et des chefs d’équipes leur directeur ? Non...! Il y a une suite logique et hiérarchique dans l’établissement de l’ordre naturel (donc de droit divin) des choses. Nous touchons la à une réalité métaphysique que l’on ne peut renverser sans menacer l’objet lui même. L’ouvrier est lié à son entreprise, il doit participer par son travail à son développement et ne pas faire le jeu de la concurrence...

Considérer un objet indépendamment de son lien avec la matière et de ses lois métaphysiques, c’est ce que l’on appelle une abstraction. Considérer la France en dehors de ses lois fondamentales, de sa constitution naturelle et surnaturelle, serait passer à côté de ce qui la forme essentiellement. Aussi, quand nous proclamons qu'il n'y a de salut pour la société et pour la France Catholique et Royale que dans une rupture complète avec les idées révolutionnaires, on ne pourra plus nous accuser de rêver je ne sais quelle résurrection du passé ! Si l'on voulait comprendre ces vérités qui sont élémentaires et dont l'évidence saute aux yeux, nous ne verrions pas tant de gens, animés par ailleurs d'excellentes intentions, mais d'un aveuglement à nul autre pareil, chercher entre la fille aînée de l'Eglise et la Révolution je ne sais quelle conciliation !

 

Alors idéalisme ou réalisme politique ? Comment ceux qui remettent sans cesse en cause la nature réelle de la France par « pragmatisme », peuvent-ils en parler et s’en réclamer encore ?

 

Reny_F

 

01/07/2011

La République instrument politique de la Révolution.

Reny.jpgLa France traverse aujourd’hui la crise identitaire la plus grave de son histoire, et sans être de ces esprits pessimistes qui voient toujours en noir, on peut se demander avec raison si notre civilisation ne va pas disparaître totalement. Car c’est un fait, et l’histoire nous donne bien des exemples : les civilisations sont mortelles. Le danger de la situation actuelle provient surtout du triomphe de plus en plus complet des doctrines révolutionnaires. C’est là qu’est l’immense péril de l’heure présente. 

La République instrument politique de la Révolution ne fait que ruiner la France, elle ne ressemble en rien à la civilisation Française Traditionnelle. Elle n’est qu’une usurpation qui s’est appropriée de manière illégitime l’oeuvre capétienne pour la dénaturer sous des contre-valeurs nihilistes dont nous voyons le plein effet aujourd'hui. Au point de vue strictement politique, sa forme de gouvernement ne saurait convenir à un grand pays, surtout quand ce pays est comme la France, essentiellement monarchique par tempérament et catholique par tradition. Le maintien du régime républicain, en effet, ne présente que des inconvénients et ne fait que compromettre gravement l’avenir même de notre pays.

La République, c’est l’incarnation politique de la Révolution; elle est la Révolution, et c’est ce qui nous impose l’obligation stricte, le devoir rigoureux de la combattre : il y a là pour nous Français une question de vie ou de mort.

La République est de toutes les formes politiques celle qui a le plus d’affinité avec la Révolution. Elle n’a fait, du reste, sa première apparition chez nous qu’au moment même de l’avènement du renversement de 1789. Les républicains de droite et de gauche qui la défendent ne le font pas parce qu’elle leur paraît assurer mieux la liberté, se prêter moins à l’arbitraire, réaliser plus d’économies que la monarchie. Non ! Ils la soutiennent parce qu’elle personnifie surtout la Révolution, il suffit pour s’en convaincre d’écouter les discours actuels des politiciens.

Il est absolument nécessaire de se pénétrer de ces vérités, si l’on veut travailler efficacement au relèvement de notre mère patrie. Quiconque sera bien convaincu que la République perd la France parce qu’elle est la Révolution, comprendra du même coup sur quel terrain il faut porter la lutte. Il verra que c’est peu de renverser la République si le gouvernement qui lui succède est, lui aussi, imbu des doctrines révolutionnaires. De la position d’adversaire idéologique, peut-être, mais de collaborateur pratique, celui qui refusera la régle du jeu que nous impose la république, sera capable de porter au coeur même de la Révolution les coups fatals qui lui ont été si souvent épargnés. Et la plus évidente preuve du fait que le combat réel se situe ici, c’est la haine farouche et disproportionnée avec laquelle l’ennemi nous attaquera si nous portons nos efforts sur ce terrain...

Mgr Louis XXSi l’on veut tenter politiquement quelque chose pour la France, il nous faut concentrer nos énergies sur le refus total et sans nuances de toutes espèces de discussions démocratiques dans le cadre des institutions républicaines. Refusons la règle du jeu du système, refusons la jusqu’au bout ! Nous devons être des réfractaires, unissons-nous autour du Roi pour former la France réelle, cette grande nation Traditionnelle, Monarchiste et Contre-révolutionnaire, c’est là qu’est le salut, inutile de le chercher ailleurs. Ceux qui cherchent la France en dehors de ses principes irréductibles, en dehors de l’union du Trône et de l’Autel, s’épuisent en efforts stériles.

Si néanmoins les Français soucieux de préserver l’avenir de la France, pérsistent à garder de secrètes attaches pour les principes de la Révolution, le Roi, quelles que puissent être, d’ailleurs ses intentions, ne sera-t-il pas, au moins dans une grande mesure, condamné à l’impuissance ? Tout ne dépend donc pas du Roi seul. Le concours de la France est nécessaire, et de même que la France sans le Roi ne peut que s’enfoncer chaque jour un peu plus dans l’abîme, le Roi sans la France ne peut rien pour le redressement salutaire de notre patrie et de notre peuple.

La Monarchie sauvera la France, seulement si la France est franchement Contre-révolutionnaire, c’est à dire franchement Catholique et Royale. Au contraire, si elle n’est que la substitution d’un régime politique à un autre, si elle n’est que le changement de l’étiquette gouvernementale, et qu’au lieu du Roi légitime, elle se borne à placer à la tête du pays une fois « la gauche » et l’autre fois « la droite », elle ne sauvera rien et ne fera qu’aggraver sa situation. Voilà ce qu’il faut à tout prix faire comprendre à ceux qui cultivent encore l’amour de la France, voilà ce qu’il faut faire comprendre et admettre à tous les nombreux « déçus » de la république. 

Reny_F

 

 

01/06/2011

Sous la bannière du Royaume des Lys.

 

bannière

La légitimité, c’est l’ordre, la tradition, la stabilité et le vrai. Rompant avec le désordre que la France subit depuis 1789.

Il n’y a pas d'autres « issues » possible pour les hésitants, les demi-vrais, les demi-faux, les partisans d’une monarchie constitutionnelle, ceux qui pensaient pouvoir vivre avec des « fragments » de vérité sans être obligés de rompre complètement avec les idéologies du carnage révolutionnaire de 1789. Si on veut le rétablissement de l’ordre et du droit pour la France, alors il faut le vouloir tout entier, c’est à dire avec le retour de la Monarchie Catholique Traditionnelle. Dont le droit ne peut être discuté, et ne peut être sujet aux caprices et tergiversations. L'existence d'un parlement composé de partis « politiques et clubs idéologiques » prétendant représenter la souveraineté du peuple au côté du roi n’est pas compatible avec la Tradition politique Française. A ce titre gardons nous bien de l'orléanisme et du bonapartisme, qui sont les seuls monarchismes à promouvoir la fusion avec les valeurs révolutionnaires, pour le résultat que nous connaissons déjà de par l’histoire...

Dans ce combat, il faut bien choisir, ou bien l’on se trouve du côté de l’ordre avec la légitimité et la tradition, ou bien l’on se trouve dans le camp de la révolution. Les entre-deux sont des révolutionnaires qui parfois s’ignorent, en regardant des deux côtés ils pensent qu’on peut faire de l’ordre avec du désordre, de l’autorité avec des principes qui sapent l’autorité à la base... Il faut bien choisir, c’est ou la Royauté Française, ou la république illégitime et maçonnique. Ou le drapeau blanc à fleurs de lys, ou le drapeau tricolore entaché du sang des martyrs catholiques et royalistes de la révolution... Il n’existe rien d’autre de possible entre les deux étendards.

Le grand défi de notre temps, consiste à nous débarrasser de ces haillons révolutionnaires et républicains ensanglantés qui nous déshonorent, et que l’on ose encore nous présenter comme les « grandes avancées » de 1789. Jusqu’à quand les méchants seront-ils seuls à montrer de l’énergie, à agir, à l’emporter presque partout, malgré leur infime minorité ?

Cette défection des forces contre-révolutionnaires vient sans doute de la réduction progressive des foyers légitimistes populaires qu'on pouvait encore trouver dans certaines campagnes très catholiques autrefois. Viviers Légitimistes qui ont hélas difficilement survécu à la reconnaissance de la république par l'Église. La prise de position de l'Église en faveur du « ralliement » ne nous facilite clairement pas la tâche, elle aurait toujours dû rester un allié solide en souvenir de l'alliance du trône et de l'autel. Il en va d'ailleurs de son propre intérêt, car la Révolution est tout autant spirituelle que politique. Aujourd'hui, quand on dit à certains catholiques qu'ils devraient être royalistes par cohérence, ils répondent justement que l'Église n'a plus de problème avec la république... Ce qui est une grave erreur de discernement, car l'Église reste toujours la cible privilégiée du système républicain mondialiste et apatride.

bannièreL’héritier de nos rois chef de la Maison de Bourbon, a l’honneur et la charge de représenter seul, aujourd’hui le grand principe de la légitimité. C’est de par ce principe, de par la tradition millénaire qu’il incarne, qu’il tient en ses mains le salut de notre France. La résurrection de notre patrie passe obligatoirement par le roi et la tradition. C’est pour cette raison que tous les hommes d’ordres doivent venir se ranger, sous la bannière du Royaume des Lys. Tous les gens de bien doivent aider le fils de Saint-Louis à accomplir toujours mieux sa mission au service du Christ qui est vrai Roi de France. 

Puissent les Français s'affranchir du joug maçonnique, en revenant franchement à la vraie tradition chrétienne et nationale, dont l'héritier de nos rois de par sa naissance, c'est à dire par la volonté de Dieu, est le seul représentant légitime.

18/05/2011

Résistance Catholique et Royaliste à la « pensée unique » !

drapeau-legitimiste.jpgCe qui est de plus en plus perceptible aujourd’hui, c’est bien le climat étouffant dans lequel nous vivons. Il y a un détachement de plus en plus significatif et accentué entre nos compatriotes et le climat de négation de la France dans lequel nous évoluons. La France ne respire plus et ne sait plus à quel remède se vouer pour retrouver sa grandeur, son élégance et sa liberté d’autrefois.

Terrorisme républicain, politique de la repentance, ambiance de mort insupportable et constante culpabilisation extrême, qui s’amplifie chaque jour et pousse chaque Français au sentiment de détestation de ses racines et de suspicion de son origine... Les tenants du système actuel réécrivent en toute impunité notre passé à l’aide du pouvoir médiatique et de l’éducation nationale, l’objectif étant de peser fortement et moralement sur les comportements des personnes. La puissante technique de diabolisation et d’intimidation va toujours plus loin dans le sens de la pensée unique. On cherche à diaboliser ou à ringardiser tout homme susceptible de résister contre cette entreprise machiavélique de la table rase du passé.

Les ennemis de la France sont aux commandes de l’Education nationale, de la culture et des médias. Les journaux, les radios ou la télévision sont de redoutables courroies de transmission qui servent de relais de diffusion. La violence audio-visuelle impitoyable que subissent aujourd’hui les Français, est pour le système le moyen le plus efficace pour les faire renoncer à eux-mêmes...

Ainsi, depuis la révolution de 1789, à des degrés différents l’ensemble des canaux du pouvoir ont joué un rôle déterminant dans l’orientation des consciences, des comportements individuels et collectifs. Le but poursuivi reste toujours le même : disqualifier, isoler, neutraliser toute forme de résistance Contre-Révolutionnaire à ce climat délétère et manichéen. Nous sommes bien obligés de constater que l’esprit de la révolution a réussi un coup de maître car il continue d’agir comme une chape de plomb sur les consciences et donne surtout l’impression que l’on ne peut s’y opposer.

Culpabilisation-immobilisation, c’est contre ce terrorisme républicain que les Légitimistes doivent agir et c’est à ce climat que nous sommes confrontés d’une manière de plus en plus pesante.

Le phénomène de rejet de notre identité s’est considérablement aggravé ces 20 dernières années. Les jeunes générations sont les plus touchées par cette entreprise malsaine de destruction identitaire et les moins aptes à y résister parce que coupées dès la naissance de leurs racines réelles et noyées dans une imagerie et un vocabulaire insolent, les isolant des richesses de notre histoire et les façonnant à l’esprit de l’impérative « mondialisation ». Pour nous Légitimistes, leur donner autre chose à aimer, autre chose à voir, autre chose à écouter devient une urgence capitale. Les Français doivent savoir qu’ils possèdent un héritage et doivent en connaître le contenu. Si aujourd’hui cette transmission ne se fait pas, il ne faut pas avoir la naïveté d’y voir l’effet du hasard : c’est le fruit d’une guerre culturelle sans pitié qui est menée contre le peuple Français et son identité séculaire.

L’école de la république n’assurant pas (bien évidemment) la transmission de notre héritage réel. Elle délivre un savoir en ruine, sans ordre, sans repère, sans idée d’excellence ni respect de notre patrimoine... Notre culture est dépréciée, or le contenu de notre culture est Monarchiste et Catholique. La dévalorisation de notre passé conduit à un rejet de ce qui est au coeur même de ce passé : c'est à dire à un violent rejet de la religion Catholique. L’effondrement culturel de notre Nation va donc de paire avec son effondrement spirituel.

Qui mène la guerre de déracinement ?

Un petit nombre d’initiés, de professionnels de la subversion, que l’on trouve dans les ministères, mais aussi dans les mouvements politiques, syndicats, forces occultes, enfin dans les médias...

Qui parle de reconquête parle d’étude et de formation à la doctrine légitimiste. La doctrine reste l’enseignement le plus solide pour déculpabiliser et donc pour faire aimer la vraie France aux Français, en nous situant pleinement dans notre civilisation, dans notre culture. Apprendre à voir, apprendre à écouter, à connaître nous font redécouvrir ce qui relie, ce qui doit unir les Français entre eux et les réconcilier avec l’histoire.

C’est pourquoi l’étude de la doctrine légitimiste n’est pas facultative car elle a pour objectif d’atteindre notre prochain, personnellement, dans ses façons de voir, d’écouter, de goûter ; de juger ... pour le déculpabiliser en lui donnant les moyens de se repérer à travers notre patrimoine.

Les légitimistes se situent dans le domaine de l’action. Il s’agit, répétons-le, tout d'abord d’une démarche d’éducation, de conquête des coeurs et des intelligences.

Reny_F