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25/04/2012

Anniversaire du Duc d'anjou


louisxx.jpgAujourd'hui 25 avril 2012, 38ème anniversaire de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon, Duc d'Anjou et de Bourbon, chef de la Maison de France, ainé de Capétiens, grand maître des Ordres du Saint-Esprit et de Saint Michel, en droit Sa Majesté Très Chétienne Louis XX, Roy de France et de Navarre.

Joyeux anniversaire Monseigneur, que ce nouvel an de grâce puisse vous rapprocher de vos sujets les plus fervents, et éclairer l'esprit des coeurs sensés.

fleur de lys

Vivat rex in aeternum ! Montjoie Saint Denis ! 

 

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Mercredi 25 avril 2012, à 12h15, à Paris

38ème anniversaire de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon , duc d'Anjou

L'institut de la Maison de Bourbon fait célébrer une messe, en l'église Saint-Germain l'Auxerrois,
paroisse des rois de France


http://www.royaute.org/page50a.html#120425

http://richemont.hautetfort.com/archive/2012/04/18/mercre...


11/11/2010

LA FRANCE N’EST PAS A NEGOCIER

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       L’élection présidentielle approche, et c’est toujours à ce moment là que les masques finissent pas tomber. C’est là que l’on découvre les prises de positions curieuses des mouvements se revendiquant le reste du temps contre-révolutionnaires, royalistes, nationalistes et soit-disant hors-système. La plupart de ces mouvements « patriotiques » finissent toujours par craquer et ainsi par se prononcer pour telle où telle écurie républicaine de la droite nationale où conservatrice ! Il faut bien faire « front » nous dira-t-on ! Comment ne pas s’aperçevoir que cette idée de ralliement s’apparente déjà à une forme de négociation, de marchandage, de consensus. En gros on s’en remet toujours à cette autorité impie républicaine qui dirige actuellement notre peuple, et on lui demande de « nous prendre en pitié », de faire quelque chose pour nous et « d’entendre notre souffrance » par le « droit de vote »… !
            

        C’est le but du vote, qui n’est ni plus ni moins qu’une forme de revendication stérile. Mais nulle part il n’y a une remise en cause sérieuse et radicale de ce système infâme qui assassine la France Chrétienne d’élections en élections. Puisque l’on continue à s’y soumettre en reconnaissant son autorité, et en lui réclamant des miettes de pain cancéreuses.

              Ne nous lassons jamais de rappeler à nos compatriotes que ce qui peut redresser la France, c'est sa tradition. Il n’y a que la Monarchie Catholique qui peut ramener notre pays dans son air natal.
Suivre des courants (ou des groupes politiques ambigues qui nous poussent toujours à rallier la république), au lieu de faire prévaloir les bons principes de la Monarchie Française, ce ne peut vraiment pas être notre rôle. Le rôle des Catholiques et des Légitimistes doit être de ramener les Français autour des idées vraies, sans se demander si elles sont ou non séduisantes pour les foules. C'est d’ailleurs ce qu'ont fait les Apôtres..

            Rester fidèle à la vocation de la France, ce n'est pas prendre la pose et attendre sans rien faire. C'est tout d’abord refuser de sacrifier l'identité culturelle et spirituelle du pays autour d'une table pour un quelconque "compromis républicain". Parce que à chaque "consensus", c'est à un petit bout de France que vous renoncerez. Celui qui renonce à nos traditions de manière consciente où par égoïsme porte en lui la responsabilité de ce qui fait la ruine de notre pays. Tout comme les chrétiens qui s’engagent sous la bannière des partis idéologiques républicains, participent à cette politique de suicide national. SAINTEJ.JPG

            La France, la vraie France est Catholique et Royale. Le Roy est le fils ainé de l’Eglise, la France ne peut pas être autre chose que cela. Nous avons une bannière, nous avons tout ce qu’il faut pour nous défendre. Nous avons à notre disposition tout ce qu’il faut pour faire avancer les choses vraiment dans le bon sens. Mais il faut pour cela retrouver tout d’abord le véritable esprit de la Croisade, et abandonner définitivement celui de la négociation, du compromis, du consensus, et donc de l’inutile revendication républicaine…

            L’étude approfondie de l’histoire de France, des causes qui ont fait sa prospérité et sa prépondérance dans le monde, et de celles qui font sa décadence, ne peuvent que nous convaincre que les destinées de notre pays sont intimement liées à celles de la Monarchie Catholique. Impossible de s’en défaire, il n’y a qu’une seule chose qui puisse rendre à la France le rang qui est le sien : c’est de retremper l’âme française dans l’esprit du passé.
Mirabeau avait donné tout l’argument de la Révolution en ce peu de mots : « Il faut décatholiciser la France pour la démonarchiser, et la démonarchiser pour la décatholiciser ». Aujourd’hui encore, et nous ne le voyons que trop, dans les rangs de nos ennemis c’est toujours le même mot d’ordre.

            Les principes démocratiques des droits de l’homme sont désorganisateurs, on ne peut donc pas vraiment s’étonner de ce phénomène de dégénérescence qui ne peut aller qu’en s’accentuant... La solution passe obligatoirement par un juste retour aux droits de Dieu... D'autant plus que pour sauver la France nous ne ferons pas l'économie de cette unité royale indispensable : "Tout Royaume divisé contre lui-même court à la ruine".

             Il n’est donc pas possible pour un catholique de se « résigner » par paresse à choisir le « moins pire » des hommes (des candidats). Il nous faut au contraire reconnaitre la toute puissance de Dieu et agir en conséquence pour le rétablissement de Ses droits, pour qu’Il règne. Sainte Jeanne d'Arc l'avait compris, et c'est ainsi qu'elle a su mettre en marche bien des hommes dans une guerre décisive et determinante au service du seul Roy de France légitime, Lieu-Tenant du Christ vrai Roi de France.

 RENY.F

08/10/2010

La garde Légitimiste

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Le Roy est là avec nous irréductibles Français, incarnant à lui seul la souveraineté du pays réel, l'espoir de la liberté et de la délivrance du Royaume.

 Dans la continuité de Sainte Jehanne d'Arc, nous autres soldats, fantassins et chevaliers sommes autour de lui pour le protéger et le guider toujours dans l'intérêt de la Tradition de nos pères. Nous faisons bloc avec lui, équipés du bouclier de la Foi Catholique et de la redoutable doctrine légitimiste. Car de lui seul dépend l'unité du royaume et la perpétuité du sublime héritage laissé par Saint-Louis. Sur notre droite et sur notre gauche approchent des meutes de chiens et de monstres incontrôlables, tous veulent mordre, tous veulent discuter le pouvoir au Roy, tous veulent s'approprier une partie de la couronne, certains cherchent même à la faire disparaître pour toujours...

 Mais la garde légitimiste est là, fidèle et dévouée, elle veille sur le Fils aîné de l'Eglise Catholique. Elle tient ! Continue inlassablement d'escorter le Lieu-tenant de Dieu sur terre avec prudence, patience et sagesse pour qu'il puisse poursuivre sa longue route qui le conduira à Reims. Ce chemin est si dur, pénible et laborieux, semé d'embûches, il en est ainsi maintenant depuis plus de deux cents ans. Si le gardien meurt, le combat se poursuit sans cesse avec une nouvelle génération de preux chevaliers, un nouveau Roy incarnant toujours le même principe de la France éternelle.

 Plus l'on s'approchera du but ultime, plus les chiens seront dangereux et les ennemis de la couronne difficiles à identifier... Le peuple Français privé de son histoire, de ses racines et de ses traditions ne comprend plus, ne comprend pas le sens du combat qui est pourtant celui de son existence même. Il est assommé par ses nouveaux maîtres manipulateurs, détourné de sa vocation divine et de sa mission dans le monde.

De temps à autre une belle âme touchée par la grâce de Dieu s'éveille enfin, parvient à franchir le barrage des chiens enragés, pour rejoindre et renforcer le socle de l'inépuisable garde légitimiste.

25/05/2010

LA STATUE DE SAINT-LOUIS A METZ

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La statue de Saint-Louis a été sculptée en 1867 par Charles Pêtre. En 1707, le curé de Saint-Simplice installa, sur la place du Change, une statue de Louis XIII. Les Messins le confondirent avec Louis IX et c'est ainsi que la place s'appela Saint-Louis. Mais la statue de Charles Pêtre est la véritable représentation de Saint Louis.

Saint Louis (Louis IX de France) a été canonisé en 1297. Ce Roi de France est le neuvième de la dynastie des Capétiens directs. Il est connu pour ses compétences de juriste et pour son rôle dans les Croisades, où il gagna jusqu'au respect des musulmans pour sa chevalerie et sa noblesse de cœur.

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Le XIIIème siècle reste dans l'Histoire comme "le siècle d'or de Saint-Louis", période de grande prospérité pour le Royaume. La France est centre des Arts et Louis IX dirige la plus grande armée d'Europe.

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26/04/2010

La cérémonie du sacre du Roy de France

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Le sacre des rois de France évolue tout au long du Moyen Âge et connaît encore quelques modifications sous l'Ancien Régime.

Il consiste d'abord en une simple onction sur le front du souverain (avant 816), à laquelle s'ajoute le couronnement, la remise d'un sceptre et le serment de défendre l'Eglise (ordo d'Hincmar), l'apparition de l'anneau et de l'épée (Xe siècle), l'adoubement du chevalier (sacre de Philippe Auguste, 1179), le serment contre les hérétiques (début du XIIIe siècle).

Au XIVe siècle est introduit le lever du Roy et la procession depuis le palais de l'archevêque jusqu'à la cathédrale (sacre de Charles V, 1364).

 

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Couronne de Louis XV
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Le lever du Roy et la procession

La cérémonie se déroule un dimanche, ou à l'occasion d'une grande fête liturgique (Ascension, Assomption, Toussaint).

Arrivé la veille, le Roy se prépare à son ministère en passant une partie de la nuit en prières, avant d'aller dormir au palais de l'archevêque (actuel palais du Tau).

C'est là qu'au lever du jour deux des pairs ecclésiastiques, l'évêque de Laon et l'évêque de Beauvais, viennent le chercher.

Commence alors un dialogue entre le chantre de la cathédrale et le grand chambellan. Le premier frappe avec son bâton à la porte de la chambre royale. "Que demandez-vous ?" demande alors le grand chambellan de l'intérieur. "Le Roy", répond le chantre. "Le Roy dort".
Ce rituel, fixé définitivement sous Louis XIII, est répété à trois reprises puis, à la fin du troisième dialogue, l'évêque de Laon dit : "Nous demandons Louis [ou Charles...] que Dieu nous a donné pour Roy".
La porte s'ouvre alors et le Roy est conduit en procession, au chant du Veni Creator, à l'intérieur de la cathédrale où l'attend le prélat consécrateur.

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Sceptre de Charles V / Statuette de Charlemagne
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Les serments, la remise des regalia et l'onction royale

Une fois le Roy assis au milieu de la cathédrale, l'archevêque de Reims part accueillir la Sainte Ampoule, apportée en cortège par les moines de Saint-Remi et escortée par les barons.

La fiole est déposée sur l'autel aux côtés des regalia, les insignes de la dignité royale conservés à l'abbaye de Saint-Denis, la nécropole des rois de France. 

Le Roy prête ensuite plusieurs serments. Debout, devant le maître-autel, sur lequel sont également posés les Evangiles et un reliquaire de la Vraie Croix, il promet de défendre l'Eglise, de lui conserver ses privilèges canoniques, de garder la paix et la justice de ses peuples et de chasser les hérétiques.

 

Simplement vêtu de sa tunique et d'une chemise échancrée aux différents endroits où doivent être pratiquées les onctions, le Roy reçoit les insignes du chevalier, l'épée et les éperons d'or qui font de lui le bras séculier de l'Eglise. Prosterné devant l'archevêque, il est oint, avec le chrême de la Sainte Ampoule, sur la tête, la poitrine, entre les épaules et sur chacune d'elles, aux jointures des bras et sur les mains.

Le Roy reçoit enfin

l'anneau, le sceptre et la main de justice.

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Epée du sacre des rois de France
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Le couronnement, l'intronisation, le sacre de la Reine et la remise des offrandes
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Les douze pairs du royaume, six ecclésiastiques et six laics, prennent alors place auprès du Roy.
L'archevêque de Reims, les évêques de Beauvais, Châlons, Langres, Laon et Noyon, les ducs d'Aquitaine, de Bourgogne et de Normandie et les comtes de Champagne, de Flandre et de Toulouse soutiennent ensemble la couronne au-dessus du Roy avant que l'archevêque ne la pose seul sur la tête du nouveau souverain.
Assis sur un trône dominant le jubé, le Roy reçoit l'hommage de l'archevêque et des onze autres pairs, tandis que retentit à chaque fois l'acclamation
"Vivat rex in æternum !",
reprise par la foule. Des oiseaux sont lâchés dans l'église tandis que retentissent les cloches des églises de la ville.

 

En raison du jeune âge des souverains lors de leur avènement, peu de reines furent sacrées à Reims, sinon, la cérémonie avait lieu à l'abbaye de Saint-Denis. Si le Roy est marié, c'est à ce moment de la cérémonie que prend place le sacre de la Reine, laquelle reçoit à son tour deux onctions sur la tête et la poitrine ainsi que des regalia plus petits tels que couronne, anneau, sceptre, main de justice.

 

Le Roy assiste ensuite à la messe depuis son trône. Au cours de l'offertoire, il apporte à l'archevêque le pain et le vin, ainsi que treize pièces d'or symbolisant son union avec le peuple. Il communie enfin à l'autel sous les deux espèces, dans le calice dit "de saint Remi".

 

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Calice du sacre
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Les cérémonies extérieures au sacre

La messe terminée, le Roy se rend au palais du Tau pour le festin du sacre.
A l'image du Christ au cours de la Cène, il prend place au milieu des douze pairs
, avec ses ornements, couronne sur la tête, le connétable brandissant l'épée devant lui.
Quelques invités soigneusement choisis par l'étiquette assistent au repas, des princes du sang, des ambassadeurs, des seigneurs, des grands officiers du royaume.

Roy thaumaturge
depuis les miracles attribués à Louis VI (1108-1137), le souverain capétien prend l'habitude, le surlendemain de son sacre, de toucher les malades atteints des écrouelles (infection tuberculeuse des ganglions). Cette cérémonie, dont Jean de Joinville rapporte que Louis IX la pratiquait chaque semaine, consiste en un rituel du signe de croix sur les plaies, accompagné de la formule :

"Le Roy te touche, Dieu te guérit."

 

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La salle du festin du Palais du Tau