f1g2a3s4b5

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/04/2014

Louis de Bourbon : "Je suis prêt à servir la France"

20140427_1_6_1_1_0_obj6346222_1.jpg

Si la France était encore une monarchie, le prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou, serait notre souverain sous le nom de Louis XX. Le prince, qui s'est rendu vendredi à Aigues-Mortes pour commémorer le 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis, a accepté de répondre aux questions de La Provence.

Monseigneur, vous vous êtes rendu, vendredi, à Aigues-Mortes pour commémorer le 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis. Que représente ce roi, majeur dans notre histoire, pour vous ? Et pourquoi célébrer sa naissance, qui est aussi le jour de votre quarantième anniversaire, à Aigues-Mortes ?


Louis de Bourbon : C'est vrai que la concordance des dates et des prénoms est amusante : Saint Louis est né le 25 avril 1214, je suis né 760 ans plus tard et nos épouses se prénomment Marguerite... Mais plus sérieusement, oui, il m'a paru important de venir à Aigues-Mortes à l'occasion du 800e anniversaire de Saint Louis. J'ai accepté cette invitation des autorités civiles et religieuses car honorer ce saint roi, bon époux et bon père de famille, est tout un symbole. Il fonda cette cité en 1240, ouvrant à la France une porte sur la Méditerranée qui ne s'est jamais refermée depuis. Roi réformateur, bâtisseur, juste, il était très aimé car il avait grand souci du faible. Tout cela est présent à Aigues-Mortes, mais j'irai cette année dans d'autres lieux, tant en France qu'à l'étranger, à commencer par le Grau-du-Roi pour la restauration d'un reliquaire[....]

Dans la France actuelle, quel rôle entendez-vous jouer ?


Louis de Bourbon : [...] J'existe, je suis là et si je peux un jour oeuvrer plus concrètement pour la France, je prendrai mes responsabilités. J'ai aujourd'hui 40 ans, trois enfants, une vie active, je sens bien que ma génération et celle qui suit attendent un changement profond et pacifique.

 

Source : le journal "la Provence". Pour lire l'article en entier, cliquez ICI.

26/04/2014

LES MACARONS DE NANCY

macaron1.jpgAu XVIIe siècle, deux soeurs, lassées par la cantine du couvent, mijotent une riposte sucrée. La gourmandise, péché mignon !

Voila une friandise qui se décline en diverses variante selon les provinces. A Nancy, elle se présente sous la forme d'un palet brun clair, craquelé, dur a l'extérieur et tendre a l'intérieur. Le macaron de Nancy est une histoire de bonne femme, ou plutôt de bonnes soeurs. Catherine de Vaudemont, fille du Duc Charles III de Lorraine et de Claude de France, a la vocation religieuse. Elle se retrouve a la tête de la prestigieuse abbaye de Remiremont,  fondée en 620 par saint Romaric, qui regroupe une cinquantaine de chanoinesses nobles. Leur habit gris perle, garni de fourrure, et leur mantille blanche sont le signe de leur puissance et de la souplesse de leur règle. Face a ce relâchement, la pieuse Catherine de Vaudemont fonde en 1625, à Nancy, capitale du duché, l'abbaye Notre-Dame-de-la-Consolation, dont l'église donne sur la rue Saint Dizier. Dans cet établissement, la consommation de viande est prohibée. Les religieuses agrémentent leur quotidien avec des recettes sucrées. Celle du macaron aux amandes, blancs d'oeuf et sucre, remporte leurs suffrages. Il est possible que ce soit Catherine elle-même qui a introduit la recette au couvent puisque sa grand-mère Catherine de Médicis aurait apporté le maccherone d'Italie.


macaron2.jpgLa tradition se perpétue lorsque les religieuses décident, en 1669, d'adopter une règle plus sévère encore, la règle bénédictine de Catherine de Bar. Née dans une famille de petite noblesse, elle est devenue mère Mectilde, prieure des bénédictines de Rambervillers. Elle institue la communauté de l'adoration perpétuelle du Saint Sacrement, à laquelle quelques couvents du nord de la France se rallient. A la fin du XVIIIe siècle, deux soeurs conversent, Marguerite-Suzanne Gaillot et Marie-Elisabeth Morlot, sont chargées de l'intendance. Survient la Révolution. Des 1790, soeur Marie de Sainte-Melanie, la fille du médecin de la communauté, retourne vivre dans sa famille. A la fermeture definitive du couvent, en 1792, les soeurs Marguerite et Elisabeth sont hébergées chez le docteur. Elles y installent un commerce de macarons et deviennent pour tous les Nancéens « les soeurs macarons» . A la mort de Marguerite,  Elisabeth fait venir auprès d'Elle sa nièce et le mari de celle-ci, M Muller. Les époux abandonnent leur métier d'agriculteur a Savigny, pres de Charme (Vosges), pour devenir pâtissiers et exploiter les secrets de la recette de leur « tante bonbon ». L'établissement fonctionne toujours au 10 rue de la Hache, rebaptisée en 1952 rue des soeurs-macarons.


A table par Eric Mension-Rigau (Historia)

 

ther_avila_3.jpgL ' AMANDE


Sainte Thérèse d'Avila prétendait que les amandes convenaient aux religieuses privées de viande. Elle n'avait pas tort, puisque leur teneur en protéines, vitamines et oligoéléments est remarquable. Fruit a coque originaire d'Asie centrale, l'amande gagne le Bassin méditerranéen a l'époque protohistorique. Les Grecs cultivent les amandiers, si bien que les Romains baptisent l'amande « noix grecque ». Elle est consommée sous forme de lait ou de poudre et entre dans de nombreuses préparations sucrées.

25/04/2014

Anniversaire du Duc d'anjou

louisxx.jpgAujourd'hui 25 avril 2014, 40ème anniversaire de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon, Duc d'Anjou et de Bourbon, chef de la Maison de France, ainé de Capétiens, grand maître des Ordres du Saint-Esprit et de Saint Michel, en droit Sa Majesté Très Chrétienne Louis XX, Roy de France et de Navarre.

Joyeux anniversaire Monseigneur, que ce nouvel an de grâce puisse vous rapprocher de vos sujets les plus fervents, et éclairer l'esprit des coeurs sensés.

 

Vivat rex in aeternum ! Montjoie Saint Denis !

-------------

fleur de lys

Entretien intégral du Prince, dans le Figaro du 24 avril 2014.

ICI

Extrait : Saint Louis est un modèle et je partage avec lui quelques liens intimes. D’abord, nos épouses portent le même prénom, Marguerite. Ensuite, le roi Louis à sa naissance n’était pas le successeur, puisqu’il avait un frère aîné, Philippe, mort alors qu’il avait à peine une dizaine d’année. Avec la mort de mon frère aîné, François, j’ai vécu le même deuil. Enfin, Saint Louis est devenu roi à 12 ans, et j’en avais à peine plus grand quand je suis devenu chef de famille...

Louis XX

24/04/2014

« Le message de Saint Louis est bien actuel »

Aigues-Mortes, le 25 avril 2014

roi.n.jpg

Communiqué du secrétariat particulier de monseigneur le duc d'Anjou le 23 avril 2014

Monseigneur le duc d'Anjou et Madame la duchesse d'Anjou, invités par le clergé et les autorités municipales, assisteront à Aigues-Mortes, le 25 avril, jour anniversaire de la naissance et du baptême du Roi Saint Louis, à une Messe pontificale célébrée par Monseigneur Wattebled, évêque de Nîmes, Uzès et Alès en l'église Notre Dame des Sablons à 19 heures.

Les adhérents et sympathisants de l'Institut Duc d'Anjou qui le peuvent seront les bienvenus à cette cérémonie religieuse.

Source : IDA

«Le message de Saint Louis est bien actuel»

La France va célébrer, ce vendredi, le 800e anniversaire de la naissance de Louis IX, Saint Louis pour l'Histoire. Un timbre commémoratif, une exposition à Poissy, où il est né le 25 avril 1214, des concerts à la Sainte-Chapelle de Paris vont accompagner cet événement. Tandis que le prince Jean de France, duc de Vendôme, rendra un hommage à la chapelle Saint-Louis de Dreux, nécropole de la famille d'Orléans, le prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou, participera aux cérémonies organisées à Aigues-Mortes, d'où le roi partit pour les Croisades. À cette occasion, l'aîné des Capétiens s'est confié en exclusivité au Figaro.

Source : FIGARO

20/04/2014

Joyeuses fêtes de Pâques à toutes et tous !

p-ques-3d18ab0.jpg

Joyeuses fêtes de Pâques à toutes et tous !


19/04/2014

Samedi 17 mai 2014 - Grande Procession en l'honneur du Roy saint Louis

ob_deb37b_tract-saint-louis-4-jpg.jpg

Grande procession en l'honneur de saint Louis à Paris

louisxx-4388667.jpgEn présence du duc d'Anjou

Organisée par les paroisses Saint-Eugène , Sainte-Cécile, Sainte-Elisabeth du Temple et Saint-Louis-en-l'Isle.

La procession partira de Saint-Eugène , 6 rue Sainte-Cécile 75009 Paris - et se terminera à Notre-dame par une ostension des Reliques de la Passion et de celles de saint Louis, sous la présidence de Monseigneur Renaud de Dinechin, évêque auxiliaire de Paris.

16/04/2014

Conférence à Mulhouse

CONFÉRENCE DE BENJAMIN RATICHAUX ORGANISÉE PAR LE CERCLE LÉGITIMISTE SAINT-MATERNE :
 
« ÊTRE DE DROITE EN 2014 »


« Un Jean-François Copé se prétendant l’héritier de la droite de toujours ou encore une Marine le Pen vilipendant les ravages de la gauche ; des sentences-tiroirs auxquelles l’on s’habitue sans en percevoir la fausseté et la manipulation subjacente. C’est une véritable définition de la droite authentique et inchangée depuis 1789 que vous propose Benjamin Ratichaux, étudiant en master d’Histoire à l’Université de Strasbourg. Une conférence plus que jamais d’actualité ! »

affiche.jpg

13/04/2014

Entrée triomphale de Jésus à Jérusalem

Jésus entre dans la ville.

image055.jpgLe jour suivant, Jésus se rendit de Béthanie à Jérusalem. Arrivé près de la ville, à la montagne des Oliviers, il envoya deux de ses disciples et dit : « Allez au village de Bethphagé, qui est devant vous. Vous trouverez, en y arrivant, une ânesse attachée et son ânon près d'elle. Détachez-les et amenez-les moi. Si quelqu'un vous demande pourquoi vous les détachez, vous répondrez : « Le Seigneur en a besoin », et aussitôt on vous les laissera emmener. » Or ceci arriva afin que s'accomplit la parole du prophète : « Dîtes à la fille de Sion : voici que ton roi vient à toi plein de douceur, assis sur une ânesse et sur un ânon. » Les deux disciples allèrent et trouvèrent toutes choses comme Jésus le leur avait dit. Ils amenèrent l'ânesse et son ânon, jetèrent dessus leurs manteaux et y firent asseoir Jésus. Bientôt, une grande multitude s'assembla. Dans la foule, la plupart étendaient leurs vêtements sur le chemin ; d'autres coupaient des branches d'arbres et en jonchaient la route. La foule qui précédait et celle qui suivait criait : « Hosanna, fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur. » Quelques pharisiens dirent à Jésus : « Maître, faites taire vos disciples ! ». Mais il leur répondit : « Je vous déclare que, s'ils se taisaient, ces pierres même crieraient ! ».

Jésus pleure sur la ville de Jérusalem.

test_p31.jpgS'étant approché de Jérusalem, Jésus aperçut la ville et, songeant à l'impénitence de cette grande cité, il s'écria : «  O Jérusalem ! Si tu connaissais, du moins en ce jour qui t'est encore donné, ce qui peut te procurer la paix. Mais maintenant cela est caché à tes yeux. Un jour viendra, où tes ennemis t'entoureront de toutes parts de tranchées. Il te détruiront, toi et tes enfants, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n'as pas su reconnaître le temps où tu étais visitée ! ».

Arrivé à Jérusalem, Jésus se rendit aussitôt au Temple. De tous les côtés accoururent des malades, des aveugles, et il les guérit tous. A ce spectacle, les enfants s'écrièrent de nouveau : « Hosanna au fils de David ! ». Les pharisiens devinrent plus furieux encore et dirent à Jésus : « N'entendez-vous pas ce qu'ils disent ? » Il répondit « Oui, je l'entends ; mais n'avez vous pas lu qu'il est écrit : « C'est de la bouche des enfants que vous vous êtes préparé une louange. » 

05/04/2014

La « petite Sixtine » de Lorraine.

tract copie(1).jpg

Renseignements et inscriptions : ro.beaudricourt@sfr.fr