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30/05/2011

Lundi 30 mai 2011, fête de Sainte Jeanne d'Arc.

Chers Amis du “Refuge Notre-Dame de Compassion“,

Vous vous en doutez, la fête de ce jour est particulièrement joyeuse et fervente en notre “Mesnil-Marie” : Sainte Jeanne d'Arc!

Statue de Sainte Jeanne d'Arc au Mesnil-Marie

D'une manière habituelle, on entend dire qu'elle est “patronne secondaire de la France”.
Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire (ici par exemple > www) - mais je veux insister et j'insisterai encore plus d'une fois sur ce point -, le qualificatif “secondaire” est inapproprié pour rendre la réalité de ce que le Saint-Siège a voulu en plaçant la France sous la protection céleste particulière de Sainte Jeanne d'Arc, et il vaut mieux utiliser l'expression : patronne de la France en second.
En Français, en effet, le qualificatif  “secondaire” peut revêtir une nuance dépréciative : est secondaire ce qui est de moindre importance, voire de moindre qualité.

L'intention de l'Eglise en proclamant Sainte Jeanne d'Arc (comme aussi Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus) patronne “secondaire” de la France n'était évidemment pas de dire que c'était un patronage de seconde zone ou auquel il fallait attribuer une moindre importance : cela signifiait seulement que, en sus de la protection de Notre-Dame de l'Assomption et au vu des besoins spirituels de notre Patrie dans les temps modernes, l'Eglise voulait que la France soit plus et mieux protégée grâce à Sainte Jeanne d'Arc, que la France bénéficie d'une manière plus spéciale des prières et des mérites de Sainte Jeanne d'Arc, que la France se ressente davantage des bienfaits de l'intercession de Sainte Jeanne d'Arc…

La manière dont Sainte Jeanne d'Arc est traitée dans le calendrier liturgique français issu de la réforme de 1969 est à proprement parler scandaleuse, puisqu'elle y est reléguée au rang de “mémoire facultative”, alors que la fête du 30 mai eût dû rester au rang le plus élevé des célébrations liturgiques, ainsi que nous le faisons toujours avec le calendrier traditionnel!

Blason de Sainte Jeanne d'Arc

Je voudrais aujourd'hui insister sur un titre dont on peut qualifier Sainte Jeanne d'Arc : elle est la sainte de la légitimité dynastique.

A un moment de l'histoire où, du fait d'un certain nombre de scandales et de mensonges, l'héritier du Trône en était arrivé à douter lui-même de sa propre légitimité, Jeanne a été suscitée par Dieu afin de lui rendre confiance, pour lui assurer “de par le Roi du Ciel” qu'il était vrai fils de Roi et légitime héritier de la Couronne et, en conséquence logique, pour l'amener à recevoir son “digne sacre” à Reims.
Ce faisant, Jeanne a suscité le sursaut psychologique et spirituel qui a refait l'unité et la force de la France.


C'est en rendant à la France son Roi légitime que la Pucelle a redonné confiance aux bons Français et a pu conduire les troupes à la victoire.
C'est en rendant à la France son Roi légitime que Jeanne a pu insuffler à toute la France un élan et une pugnacité qui ne se sont pas éteints avec les flammes du bûcher dans lequel elle a consommé son sacrifice.
C'est en rendant à la France son Roi légitime qu'elle a permis la victoire militaire sur l'envahisseur et, par conséquence, la conservation de la France dans le giron de l'Eglise Romaine : si, en effet, le Roi d'Angleterre était aussi devenu Roi de France, au siècle suivant la France aurait pu sombrer dans le schisme anglican.


Voilà pourquoi l'oraison propre de la fête de Sainte Jeanne d'Arc n'hésite pas à affirmer : “Ô Dieu, qui avez merveilleusement suscité la Bienheureuse vierge Jeanne pour la défense de la foi et de la patrie… Deus, qui beatam Joannam virginem ad fidem ac patriam tuendam mirabiliter suscitasti!
La vocation militaire de Jeanne était ordonnée à la conservation de la Foi catholique en France.

Le sacre de Charles VII (d'étail d'un vitrail de l'église de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu)

Ainsi on peut dire qu'en envoyant Jeanne au secours de la France envahie et humilié, Dieu a également confirmé de manière éclatante la justesse et la pertinence des Lois Fondamentales du Royaume : ces Lois sont l'une des expressions des desseins de Dieu sur la France ; elles sont la garantie institutionnelle d'une fidélité aux volontés de la Providence sur ce pays!

Dieu n'a pas voulu que Charles VII soit sacré à Reims de préférence à son cousin anglais par une espèce de divin caprice ; Il ne l'a pas voulu parce que Charles aurait été plus capable humainement de faire le bonheur de la France et plus talentueux politiquement ; Il ne l'a même pas voulu parce que Charles VII aurait été plus vertueux ou plus pieux que son rival…
Non! Dieu - dans son omniscience éternelle - savait même que Charles VII commettrait des fautes, des fautes graves parfois contre la morale chrétienne dans sa vie privée, et des fautes importantes aussi dans le gouvernement du Royaume et ses relations avec l'Eglise.
Et cependant Il a voulu que ce soit lui - lui et pas un autre qui eût pu être supérieur en qualités humaines et spirituelles - qui soit reconnu comme Roi, parce qu'il était fils légitime de Charles VI et désigné comme Roi légitime par les Lois Fondamentales!

Grandes armes de France

Aujourd'hui, ces mêmes Lois Fondamentales désignent le Prince Louis-Alphonse de Bourbon, aîné des Capétiens, descendant direct de Saint Louis, d'Henri IV et de Louis XIV, comme héritier de la Couronne et du Trône de France.

C'est par fidélité aux desseins de Dieu sur la France et par obéissance aux dispositions de la Providence - exprimées dans les Lois Fondamentales -, et non en raison d'un attachement sentimental, par nostalgie ou pour quelque autre raison humaine, que nous sommes attachés à la légitimité dynastique.

Nous ne sommes pas les supporters d'un “prétendant” : d'ailleurs le Prince Louis ne prétend à rien, tout simplement il est.
Nous ne sommes pas entrés en légitimité (et j'emploie cette expression avec le même sens d'engagement et de don de soi qui sous-tend l'expression : entrer dans les ordres) parce que nous trouverions au Prince des qualités ou des vertus supérieures…
Nous ne sommes pas des idéalistes et nous sommes ennemis de toute forme de culte de la personnalité ; nous savons que nul homme n'est parfait, mais que tous et chacun portent en eux un mélange de qualités et de défauts, de vertus et de péchés : le Prince n'échappe pas à la complexité de cette réalité humaine…


Mais en revanche nous croyons en Dieu qui, par l'action de Ses saints, par les héros inspirés qu'Il a suscités, et surtout par l'obéissance à Ses lois et aux dispositions de Sa Providence peut changer le cours de l'histoire et redonner vie à un pays.
Nous croyons particulièrement que le Sacre peut infuser dans un homme et - à travers cet homme malgré ses imperfections - peut communiquer à une société tout entière et à un Etat des grâces desquelles découlent le bonheur et la prospérité terrestres eux-mêmes.

Samedi 28 mai 2011 - Fête catholique et légitimiste (Bourg en Bresse)

Tout ce que j'ai précédemment exprimé m'amène à vous dire que notre Frère Maximilien-Marie a été très heureux de participer, samedi dernier 28 mai, à la grande fête catholique et légitimiste qui avait été organisée près de Bourg-en-Bresse par une union d'associations légitimistes du Lyonnais et de Bourgogne.

Il a eu la grande joie d'y retrouver des amis qu'il n'avait pas revus depuis longtemps, de faire de nouvelles connaissances et de rencontrer “en vrai” des personnes avec lesquelles les moyens modernes de communication lui permettent d'avoir des contacts amicaux réguliers…

Cette journée fut un vrai succès : l'ambiance y fut excellente et les conférences de grande qualité!
En intermède, le choeur de “La Joyeuse Garde” (photo ci-dessus) exécutait des chants traditionnels, chouans et royalistes repris par toute l'assemblée.

Notre Frère m'a donc chargé de remercier en son nom tous les amis qu'il a revus là et, bien sûr, tous ceux qui se sont généreusement dépensés pour l'organisation et la réussite de cette manifestation dont il faut espérer non seulement la réédition, mais aussi qu'elle inspirera aussi d'autres provinces pour la défense et la promotion de la légitimité dynastique…

Puisse Sainte Jeanne d'Arc, intercéder puissamment pour notre France et lui permettre de revenir aux sources vives de la fidélité à sa vocation et de la légitimité voulue par Dieu

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Lully.

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Source : Le blog du Mesnil-Marie

http://leblogdumesnil.unblog.fr/2011/05/30/2011-45-ou-a-p...

11/03/2011

Mais où allons nous ?

monarchie royalisme,légitimité,louis xx,identité,lois fondamentales,révolution,contre-révolutionMais où allons-nous ? C'est la question que me posait dernièrement un « Français » complètement assommé par les contradictions  républicaines  récurrentes, un « Français » comme on en croise de plus en plus souvent. Ne sachant plus à quel parti politique se vouer, ni à qui accorder sa confiance et ses espérances.

Question intéressante qui nous oblige à jeter un regard sur nous-mêmes. L'expérience, le temps aidant enfin à comprendre que l'on ne peut bâtir éperdument des châteaux de cartes, si l'on veut faire du solide. En politique comme en religion quand on s'appelle « LA FRANCE », il y a des vérités auxquelles tôt où tard il faut bien revenir, si on ne veut être sans fin le « hochet » des idéologies républicaines et révolutionnaires. Pauvre France profondément égarée et meurtrie qui ne sait plus d'où elle vient, qui elle est, et où elle va... Telle est aujourd'hui l'état de santé de notre pauvre patrie devenue amnésique, après avoir été arrachée autrefois par la sauvagerie et la violence à son Dieu et à son Roy.

monarchie royalisme,légitimité,louis xx,identité,lois fondamentales,révolution,contre-révolutionAidons, avec beaucoup de charité et de patience les Français « cherchant », à ouvrir progressivement les yeux. Ils doivent finir par reconnaître qu'ils ont été trompés. Voilà comment certains trop timidement encore, reviennent au principe Monarchique. En effet comment ne pas voir aujourd'hui, après tant de mécomptes et d'essais infructueux, que la Monarchie traditionnelle, appuyée sur le droit héréditaire et consacrée par le temps, peut seule rendre au pays, avec un gouvernement régulier et stable : son identité, ses racines, ses valeurs, sa culture, ses traditions, sa foi catholique et sa couronne Royale... Et puis, cette sécurité de tous les droits, cette garantie de tous les intérêts nationaux, cet accord nécessaire d'une autorité forte et d'une liberté sage

Depuis 1789, les nouveaux maîtres de la France, n'ont eu de cesse que de chercher à faire oublier aux Français ce qu'ils devaient à leur Dieu et au Roy. Ils ont tout fait, tout tenté pour enlever à la France sa Foi religieuse et sa Foi politique. Nos nobles traditions de fidélité à l'Eglise et de fidélité à la Monarchie ont été tournées en dérision. La puissante machine révolutionnaire a persuadé les Français qu'ils pouvaient être fidèles où infidèles, être chrétiens où athées, monarchistes où républicains... Mais voilà que la providence, qui a ses moments marqués, semble dire aujourd'hui plus que jamais :

« Français, vous êtes trompés !!! »

C'est à force de souffrances et de guerres idéologiques, que les plus éclairés finissent par entendre et par comprendre cette grande voix. Dieu parle au monde et à la France par les événements. Ceux de ces deux derniers siècles sont tellement éloquents, les châtiments ont été si terribles... Que l'unique espoir de la renaissance de notre patrie et le redressement de notre peuple, ne se trouve que dans le retour à la Monarchie Française Légitime. Le retour à une souveraineté, fruit d'une action contre-révolutionnaire reposant sur des principes Monarchistes et Chrétiens. 

monarchie royalisme,légitimité,louis xx,identité,lois fondamentales,révolution,contre-révolutionLe fils de Saint-Louis, le chef de la maison de Bourbon, est notre Roy légitime, le Roy que Dieu à daigné nous réserver. Tel est, devant la France Louis XX, chef de la maison Royale de Bourbon, héritier légitime de la couronne de Saint-Louis, d'Henri IV et de Louis XIV. Tenant ses droits de sa naissance et de l'authentique tradition politique Française, que nulle violence révolutionnaire n'avait le droit de renverser. Louis XX est roi de France, non en vertu de cette escroquerie qui porte le nom de "volonté générale", mais en vertu de l'ordre établi de Dieu. Roy de France d'après la loi de Dieu, et d'après les plus vénérables et ineffaçables traditions Catholiques et Françaises.

 

29/09/2010

Le CHRIST est Roi de FRANCE.

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« Le salut de la France ne peut être obtenu que par la reconnaissance du règne du Christ sur la nation »

Saint Pie X.

Ce qui nous amène a en conclure que la nation Française ne peut exister sans son Roi.

 

« Messire » - « Notre Dame »

 Deux noms qui montèrent souvent aux lèvres de nos pères, l’un s’adressant au Christ et l’autre à la Vierge, attestant l’union profonde de la cité charnelle à la cité de Dieu quand nous vivions en chrétienté.

 Le premier rappelait la légitimité du Christ au royaume de France. C’est dans ce sens que l’employait Jeanne d’Arc parlant à Charles VII. 

  « Moi je te dis de la part de Messire, que tu es héritier de France et fils de Roi ».

 Précisant cette souveraineté particulière elle disait encore :

« Mon Seigneur veut que le dauphin devienne Roi et tienne le royaume en commende. ».

 Puis encore :

 « Gentil dauphin, j’ai nom Jeanne la Pucelle et vous mande le Roi des cieux que vous serez sacré et couronné dans la ville de Reims et serez LieuTenant du Roi des Cieux qui est Roi de France ».



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C’était énoncer les deux fondements de la constitution française : le Christ et le Roi; le Roi vassal de Dieu. Il y avait implicitement dans sa constitution et même, explicitement à partir de Jeanne d’Arc, un lien de vassalité entre Dieu et le Roi. C’est là l’aspect le plus éminent des lois fondamentales du royaume qui formaient notre constitution non écrite.

 Le Christ est donc bien le Suzerain légitime du Royaume et cela non pas seulement par l’effet d’un simple et vague sentiment religieux, mais en vertu d’un état de droit, d’un lien de droit public qui n’admet ni limite ni prescription. La légitimité du Christ est pour nous Français, une vérité politique. Comme les lois fondamentales du royaume qui n’étaient pas écrites, cette légitimité n’en a pas moins le caractère d’une institution reconnue du peuple et de tous les rois de l’ancien régime.

Violée, bafoué hier, oubliée par surcroît aujourd’hui, cette légitimité demeure cependant imprescriptible. Qui pourrait mettre en doute la réalité de cette alliance attestée par nos origines, la mission de Jeanne, le Sacre et le droit royal, surtout lorsqu’on voit ces témoignages inséparables comme un bloc illuminés tous ensemble et à nouveau par les révélations du Sacré-Coeur ?

Plus nous approfondirons le sujet plus en effet nous verrons s’accroître notre conviction. La concordance, le parallélisme ou l’union intime du naturel et du surnaturel y éclatent à chaque instant.

 Nous avons perdu le sens de la légitimité : il faut le reconquérir. Depuis la révolution de 1789 notre histoire présente tous les caratères d’une liquidation, liquidation de la Foi dans le droit, la politique, l’économie, toutes les sciences, toutes les disciplines, liquidation de l’autorité et avec elle de la liberté, des libertés, de l’obéissance, de la religion familiale, du droit de propriété. Il ne reste plus rien. Cet aplanissement est le stigmate de la dissolution, la démission de la vie...

Or il y a une Loi des lois, au dessus des nôtres et qui tire son fondement légitime du droit de Dieu Lui même sur Sa création. Elle se manifeste en différents points de la société pour en former les assises, elle s’irradie en certaines institutions données par la nature ou la révélation et c’est d’elle que ces choses tirent leur légitimité.

Celle du Prince, la plus haute dans l’organisation hiérarchique en couvre et protège d’autres dont elle n’est que l’auxiliaire ou l’éminente garantie. La France où le Christ détient des droits particuliers et inaliénables, ne saurait retrouver la paix qu’en restaurant chez elle toutes ces légitimités.

 

   

23/09/2009

Les lois fondamentales du Royaume de France

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La succession à la Couronne est héréditaire de mâle en mâle par ordre de primogéniture :

En l’absence de tout successible direct du Monarque défunt, la couronne est dévolu à l’infini à l’aîné de la branche collatérale la plus proche (qui devient la nouvelle branche aînée)

Pourquoi la masculinité ? Le Roy de France est oint par le sacre (sacrement comparable qui confère leur autorité aux évêques) et, Lieutenant du Christ, il est chef des Armées. Cette règle vise à empêcher que  le Royaume de France ne tombe sous la domination d’un souverain étranger qui épouserait une princesse française.

 

La couronne de France est indisponible : le Roy régnant ne peut  rien changer à l’ordre de la succession. Il ne peut ni abdiquer, ni exhéréder ou faire renoncer un prince du sang.

La succession royale n’est pas patrimoniale et héréditaire mais « statutaire ». Le statut coutumier du Royaume est hors de portée des volontés humaines, celle du Roy comme de son héritier ou de tout successible. Par conséquent, le Roy (de fait ou de droit)  ne peut renoncer à la Couronne en abdiquant, ni limiter les prérogatives de ses successeurs , ni porter atteinte à l’ordre de succession. Il ne peut faire renoncer un successible et les renonciations de celui ci sont nulles de plein droit. En France, le Royaume n’est pas la propriété du monarque., celui ci exerce un fonction, un service.

 

La succession est instantanée : « le Roy est mort, vive le Roy »

Les ordonnances de Charles VI de 1403 et 1407, décident que le Roy serait tel dès la mort de son prédécesseur, instantanément et quel que fût son âge selon l’ancien adage : « le mort saisit le vif » : le sacre n’est plus constitutif de la royauté mais simplement déclaratif aux yeux des légistes, seule la force de la coutume faisait le Roy. Ce qui fait dire que  « en France, le Roy ne meurt jamais ».

 

La règle de la catholicité

Le Roy de France est oint par le sacre. Il doit donc être né d’un mariage catholique, c’est à dire canoniquement valable ; le serment du sacre en fait le lieutenant du Christ, fils aîné de l’Eglise, et comme tel protecteur de l’Eglise catholique.