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29/09/2010

Le CHRIST est Roi de FRANCE.

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« Le salut de la France ne peut être obtenu que par la reconnaissance du règne du Christ sur la nation »

Saint Pie X.

Ce qui nous amène a en conclure que la nation Française ne peut exister sans son Roi.

 

« Messire » - « Notre Dame »

 Deux noms qui montèrent souvent aux lèvres de nos pères, l’un s’adressant au Christ et l’autre à la Vierge, attestant l’union profonde de la cité charnelle à la cité de Dieu quand nous vivions en chrétienté.

 Le premier rappelait la légitimité du Christ au royaume de France. C’est dans ce sens que l’employait Jeanne d’Arc parlant à Charles VII. 

  « Moi je te dis de la part de Messire, que tu es héritier de France et fils de Roi ».

 Précisant cette souveraineté particulière elle disait encore :

« Mon Seigneur veut que le dauphin devienne Roi et tienne le royaume en commende. ».

 Puis encore :

 « Gentil dauphin, j’ai nom Jeanne la Pucelle et vous mande le Roi des cieux que vous serez sacré et couronné dans la ville de Reims et serez LieuTenant du Roi des Cieux qui est Roi de France ».



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C’était énoncer les deux fondements de la constitution française : le Christ et le Roi; le Roi vassal de Dieu. Il y avait implicitement dans sa constitution et même, explicitement à partir de Jeanne d’Arc, un lien de vassalité entre Dieu et le Roi. C’est là l’aspect le plus éminent des lois fondamentales du royaume qui formaient notre constitution non écrite.

 Le Christ est donc bien le Suzerain légitime du Royaume et cela non pas seulement par l’effet d’un simple et vague sentiment religieux, mais en vertu d’un état de droit, d’un lien de droit public qui n’admet ni limite ni prescription. La légitimité du Christ est pour nous Français, une vérité politique. Comme les lois fondamentales du royaume qui n’étaient pas écrites, cette légitimité n’en a pas moins le caractère d’une institution reconnue du peuple et de tous les rois de l’ancien régime.

Violée, bafoué hier, oubliée par surcroît aujourd’hui, cette légitimité demeure cependant imprescriptible. Qui pourrait mettre en doute la réalité de cette alliance attestée par nos origines, la mission de Jeanne, le Sacre et le droit royal, surtout lorsqu’on voit ces témoignages inséparables comme un bloc illuminés tous ensemble et à nouveau par les révélations du Sacré-Coeur ?

Plus nous approfondirons le sujet plus en effet nous verrons s’accroître notre conviction. La concordance, le parallélisme ou l’union intime du naturel et du surnaturel y éclatent à chaque instant.

 Nous avons perdu le sens de la légitimité : il faut le reconquérir. Depuis la révolution de 1789 notre histoire présente tous les caratères d’une liquidation, liquidation de la Foi dans le droit, la politique, l’économie, toutes les sciences, toutes les disciplines, liquidation de l’autorité et avec elle de la liberté, des libertés, de l’obéissance, de la religion familiale, du droit de propriété. Il ne reste plus rien. Cet aplanissement est le stigmate de la dissolution, la démission de la vie...

Or il y a une Loi des lois, au dessus des nôtres et qui tire son fondement légitime du droit de Dieu Lui même sur Sa création. Elle se manifeste en différents points de la société pour en former les assises, elle s’irradie en certaines institutions données par la nature ou la révélation et c’est d’elle que ces choses tirent leur légitimité.

Celle du Prince, la plus haute dans l’organisation hiérarchique en couvre et protège d’autres dont elle n’est que l’auxiliaire ou l’éminente garantie. La France où le Christ détient des droits particuliers et inaliénables, ne saurait retrouver la paix qu’en restaurant chez elle toutes ces légitimités.

 

   

Commentaires

Il faudrait que les cerveaux qui légiférent un peu, qui pactisent avec les partis, prennent leur chapelet, et s'agenouillent devant ce Roi Jésus Christ, et suivre sa volonté et non la leur.

Écrit par : Henri Peyrard | 29/09/2010

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