17/12/2013
Loi TAUBIRA : « révolution sociétale » ou suicide social ?
En 1998, Mme Élisabeth Guigou alors ministre socialiste présentait à l’Assemblée nationale sa loi sur le PACS en jurant : « il n’est pas question, ni aujourd’hui ni demain, que deux personnes physiques du même sexe, quel que soit leur sexe, puissent se marier » et « Le gouvernement dont je fais partie ne proposera jamais l’adoption ni la procréation médicalement assistée pour les concubins homosexuels ». En 2013 elle se rallie au « Mariage pour tous » et avoue avoir menti en déclarant : « À l’époque, l’important était de faire passer le pacs [...] il n’était pas possible de mettre sur la table la question du mariage homosexuel, même au sein du gouvernement, il a fallu que j’insiste » et « La fin justifiait les moyens ». Quel crédit peut-on encore accorder au gouvernement par l’opinion quand on constate ce type de manipulation ? Que penser des actuelles déclarations du gouvernement quand il affirme que la PMA et la GPA ne sont pas envisagées pour les couples homosexuels ?
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Loi TAUBIRA : « révolution sociétale » ou suicide social ?
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16/12/2013
Pénétrons dans le secret de Notre Dame de Paris
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14/12/2013
La contre-révolution en Lorraine sous l'empire
Dans son remarquable ouvrage sur le diocèse de Nancy. M. l'abbé Eugène Martin n'a rien omis et si je me permets aujourd'hui de glaner derrière lui, c'est seulement parce que j'ai pensé, en apportant quelques documents inédits, intéresser ceux qui ont la curiosité de connaître cette époque passionnante en France du culte catholique.
Le Préfet de la Meurthe en 1802 était Marquis : nommé à Nancy depuis le 2 mars 1800, il commençait à bien saisir l'esprit de ses administrés. Il devait sa nomination tant à ses sentiments modérés pendant la Révolution, qu'aux services qu'il avait rendus, lors de sa brève mission dans les quatre nouveaux départements de la rive gauche du Rhin, où il s'était révélé un administrateur de premier ordre. Dès son arrivée dans la Meurthe, il s'était efforcé de pacifier les esprits. Son prédécesseur sous le Directoire, le commissaire du pouvoir exécutif Saulnier, homme fort intelligent, mais très autoritaire, s'était montré souvent brutal surtout à l'égard des émigrés rentrés et des prêtres réfractaires qu'il avait poursuivi avec la dernière rigueur. Les populations étaient restés profondément attachés au catholicisme romain, même pendant le régime anti-religieux du Directoire et les efforts des commissaires du pouvoir exécutif pour faire admettre le culte décadaire et le calendrier républicain n'avaient pu triompher de leur obstination.
Avant de faire reconnaître le nouveau clergé concordataire, Marquis dans son « oeuvre d'apaisement ».., avait dû d'abord extirper les derniers germes du catholicisme intransigeant que maintenait à Nancy l'ancien Evêque La Fare, demeurés en relation avec quelques prêtres lorrains.
Su moment où Bonaparte reconstituait l'Eglise de France, il entendait que les prêtres devinssent de véritables fonctionnaires rentrant dans la hiérarchie de l'Etat : aussi s'il favorisait les uns, se montrait-il sévère envers ceux qui contrariaient sa politique.
Les rapports des préfets ne lui suffisaient pas : il les faisait compléter par les renseignements qui lui parvenaient de diverses sources. Ainsi sur un simple avis du législateur Faure (de la Haute Loire), qui transmettait une dénonciation concernant les prêtres rentrés dans le département de la Meurthe, le Ministre de la police Fouché demandait au Préfet des renseignements détaillés et lui prescrivait une enquête sévère (19 janvier 1802).
Il y avait alors à Nancy un petit nombre de royalistes et de prêtres réfractaires qui se réunissaient dans la chapelle de l'hospice St-Julien et qui, suivant les rapports des agents secrets, étaient en relation avec les conspirateurs de Paris. « Au commencement de ventôse (février), disait-on, ce parti paraissait très satisfait et se flattait d'avoir acquis une grande influence sur les personnages les plus importants du gouvernement et d'avoir des amis dans le Sénat conservateur et le conseil d'Etat. Il comptait aussi beaucoup sur la nouvelle organisation du clergé qui, d'après ces calculs, devait être presque exclusivement composé de prêtre réfractaires et en conséquences dévoués à la cause des royalistes. »
Les personnes qui étaient désignées comme faisant partie de la « coterie papiste » et que le Préfet avait reçu l'ordre de surveiller depuis le 18 février, étaient les suivantes :
1. Vaubecourt-Nettancourt, ex-comte, prévenu d'émigration sous surveillance, ci-devant lieutenant-général des armées, âgé, peu de moyens, paraissant jouir d'une grande considération de la part des autres et vraisemblablement à cause de sa naissance et de son ancien titre ;
2. Ludre (Gabriel-Florent), ex-marquis, autrefois un des propriétaires les plus considérables du département, mais dont la presque totalité des biens a été vendue et sa femme, Madame de Ludre, qui l'a suivie dans l'émigration, non inscrite cependant sur la liste des émigrés ;
3. D'Hofflize (Christophe-Thiébaut), ex-chevalier, ancien capitaine de carabiniers, prévenu d'émigration sous surveillance ;
4. D'Hédival (Nicolas-Hyacinthe-Rousselot), ex-comte, prévenu d'émigration sous surveillance ;
5. Madame de Landreville. ci-devant comtesse, non prévenue d'émigration ;
6. Madame Garemdé, veuve d'un ancien conseiller au Parlement de Lorraine ;
7. Jacquemin, ex professeur de théologie,
8. Mollevaut, ex-curé de Nancy,
9. Mannessy, ex-chanoine de Reims,
10. Rollin, ex-curé de Rancy
(Les quatre derniers de cette liste cachés à Nancy et changeant souvent de demeure.)
Tels étaient les importants conspirateurs qui empêchaient le Ministre de la Police et surtout le Préfet de la Meurthe de respirer à l'aise, en cet hiver de 1802. Une volumineuse correspondance était échangée à leur sujet entre Paris et Nancy et, le 9 avril 1802, presque à l'heure où le Concordat était proclamé, le Préfet de la Meurthe recevait de Fouché l'ordre d'expulser de territoire français tous les prévenus dont nous venons de rappeler les noms.
Extrait de l'ancienne revue « Le pays Lorrain » numéro de 1906 :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k86162w/f220.image.r=le%20pays%20lorrain.langFR
12:34 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : empire, contre-révolution, lorraine, histoire, persécutions, nancy
08/12/2013
Famille d'abord décembre 2013 : entretien avec le Prince Louis Duc d'Anjou
Le Mouvement Catholique des Familles.
http://www.laportelatine.org/associations/mcf/presentatio...
Après une brève présentation de lui même et de la famille royale, le Prince dans cet entretien, explique sa prise de position en faveur de la famille traditionnelle, et donc contre "le mariage pour tous".
Il délivre également un message d'espoir pour l'avenir de la France, puis félicite cette jeunesse qui se lève et qui fait preuve d'une grande maturité dans l'épreuve.
19:57 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : louis xx, duc d'anjou, mcf, légitimité
01/12/2013
Vidéo UCLF
L’UCLF défend la monarchie française traditionnelle et le successeur désigné par les Lois Fondamentales du Royaume : Louis XX.
00:03 | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : uclf