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01/08/2022

1er Août 1793 : proclamation de l'extermination de la Vendée

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1er Août 1793 : proclamation de l'extermination de la Vendée.
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La folie révolutionnaire de "l'homme" qui se fait Dieu est à l'origine non seulement de l'extermination de la Vendée Catholique et Royale, mais de la France entière...
Volonté complétement folle d'effacer le passé, de tuer la mémoire et les traditions, de mener la guerre à la terre entière, de calciner la France réelle pour qu'elle devienne une "république" par le "contrat social de Rousseau", une contrée nouvelle, même si on est obligé d'anéantir totalement son peuple.
 
Les innombrables mesures barbares employées dans la mise en oeuvre de ce Génocide sont écoeurantes. Pour se rendre compte de cette débauche de violences atroces, voici quelques exemples quasi insoutenables extraits du livre "Vendée vengée" de Reynald Secher :
 
« On tanne à Meudon la peau humaine. La peau qui provient d’hommes est d’une consistance et d’une bonté supérieures à celle des chamois. Celle des sujets féminins est plus souple, mais elle présente moins de solidité…».
14 août 1793, Saint-Just détaille des atrocités à la « Commission des Moyens extra-ordinaires », page 175
 
« J’ai vu brûler vifs des femmes et des hommes, écrit le chirurgien Thomas. J’ai vu cent cinquante soldats maltraiter et violer des femmes, des filles de quatorze et quinze ans, les massacrer ensuite et jeter de baïonnette en baïonnette de tendres enfants restés à côté de leurs mères étendues sur le carreau… ». page 164
 
« Les officiers subalternes, souvent écoeurés, témoignent eux aussi :
Amey, écrit l’officier de police Gannet dans un rapport, fait allumer les fours et lorsqu’ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants. Nous lui avons fait des représentations ; il nous a répondu que c’était ainsi que la République voulait faire cuire son pain ». page 163
 
« La procédure est simple : on entasse la cargaison humaine dans une vieille galiote aménagée de sorte de sabords ; une fois au large, on les fait voler en éclats à coups de hache : l’eau gicle de toutes parts et en quelques instants tous les prisonniers sont noyés. Ceux qui en réchappent sont immédiatement sabrés (d’où le mot de « sabrades » inventé par Grandmaison) par les bourreaux qui de leurs barques légères assistent au spectacle .
 
Témoin au procès de Carrier, Guillaume-François Lahennec dépose ainsi :
D’abord les noyades se faisaient de nuit mais le comité révolutionnaire ne tarda pas à se familiariser avec le crime ; il n’en devint que plus cruel et dès ce moment, les noyades se firent en plein jour… D’abord les individus étaient noyés avec leurs vêtements ; mais ensuite le comité, conduit par la cupidité autant que par le raffinement de la cruauté, dépouillait de leurs vêtements ceux qu’il voulait immoler aux différentes passions qui l’animaient. Il faut aussi vous parler du « mariage républicain » qui consistait à attacher, tout nus, sous les aisselles, un jeune homme à une jeune femme, et à les précipiter ainsi dans les eaux (…) ». page 152
 
« Carrier se vante devant l’inspecteur de l’armée, Martin Naudelle « d’y avoir fait passer deux mille huit cents brigands » dans ce qu’il appelle « la déportation verticale dans la baignoire nationale », « le grand verre des calotins » ou « le baptême patriotique ». En fait, ce sont 4800 personnes recensées que la Loire, « ce torrent révolutionnaire », engloutit au cours du seul automne 1793″. pages 152 et 153
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Malheureusement, nous pourrions continuer cette macabre énumération durant des pages et des pages… Si ce Génocide n’a pas été « total », c’est uniquement à cause « de la faiblesse des moyens » d’extermination de l’époque.
 
 
 

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